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      La mairie de Telgruc-sur-Mer dans le Finistère a organisé sans autorisation, dans un bois, l'entreposage d'algues vertes dont les gaz de putréfaction sont potentiellement dangereux, pour "sauver l'activité touristique", a-t-on appris de sources concordantes.

    "Nous avons pris la décision de faire un ramassage des algues qui gênaient le fonctionnement du centre nautique. Avec des coefficients de marée importants, les algues seraient restées coincées dans les galets et auraient occasionné des nuisances aux touristes", a déclaré le maire de Telgruc-sur-Mer Jean-Marc Richard, interrogé par France Bleu Breizh Izel.

    Selon M. Richard, la mairie a choisi pour l'entreposage un terrain communal éloigné de toute habitation et hors des chemins de randonnée.

    Mais le dépôt a été découvert par des promeneurs qui ont alerté l'association de défense de l'environnement de la baie de Douarnenez.

    "On était dans une situation d'urgence, il y avait une énorme odeur et il n'y avait pas de signalisation", a expliqué le président de l'association, M. Hascoët.

    Depuis, Telgruc-sur-Mer a installé des barrières autour du site dans un bois à quelques centaines de mètres du rivage, sur ordre de la sous-préfecture de Châteaulin dont elle dépend.

    Le stock doit être déblayé mercredi et entreposé sur un site de traitement habilité dans le Finistère ou dans le Morbihan.

    "Nous n'allons pas déposer plainte parce que nous ne voulons accuser personne et que nous comprenons le manque de coordination et le désarroi des petites communes face aux problèmes des algues vertes", a indiqué M. Hascoët.

    Le maire de Telgruc-sur-Mer a indiqué que la communauté de communes de Crozon était en train de créer un lieu d'apport et de traitement des algues. Mais le "projet n'aboutira qu'en 2012", a ajouté l'élu.

     

     

     

    Un dépôt sauvage d’algues vertes à Telgruc-sur-Mer

    Environnement lundi 30 mai 2011

    8 commentaires
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      La mairie de Telgruc-sur-Mer dans le Finistère a organisé sans autorisation, dans un bois, l'entreposage d'algues vertes dont les gaz de putréfaction sont potentiellement dangereux, pour "sauver l'activité touristique", a-t-on appris de sources concordantes.

    "Nous avons pris la décision de faire un ramassage des algues qui gênaient le fonctionnement du centre nautique. Avec des coefficients de marée importants, les algues seraient restées coincées dans les galets et auraient occasionné des nuisances aux touristes", a déclaré le maire de Telgruc-sur-Mer Jean-Marc Richard, interrogé par France Bleu Breizh Izel.

    Selon M. Richard, la mairie a choisi pour l'entreposage un terrain communal éloigné de toute habitation et hors des chemins de randonnée.

    Mais le dépôt a été découvert par des promeneurs qui ont alerté l'association de défense de l'environnement de la baie de Douarnenez.

    "On était dans une situation d'urgence, il y avait une énorme odeur et il n'y avait pas de signalisation", a expliqué le président de l'association, M. Hascoët.

    Depuis, Telgruc-sur-Mer a installé des barrières autour du site dans un bois à quelques centaines de mètres du rivage, sur ordre de la sous-préfecture de Châteaulin dont elle dépend.

    Le stock doit être déblayé mercredi et entreposé sur un site de traitement habilité dans le Finistère ou dans le Morbihan.

    "Nous n'allons pas déposer plainte parce que nous ne voulons accuser personne et que nous comprenons le manque de coordination et le désarroi des petites communes face aux problèmes des algues vertes", a indiqué M. Hascoët.

    Le maire de Telgruc-sur-Mer a indiqué que la communauté de communes de Crozon était en train de créer un lieu d'apport et de traitement des algues. Mais le "projet n'aboutira qu'en 2012", a ajouté l'élu.

     

     

     

    Un dépôt sauvage d’algues vertes à Telgruc-sur-Mer

    Environnement lundi 30 mai 2011

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  • La France compte des dizaines de milliers de paratonnerres radioactifs qu'un site permet aujourd'hui de signaler.

     

    www.paratonnerres-radioactifs.fr

     

    *

     

    *

    Bienvenue

    Bienvenue sur le site de l’inventaire national des paratonnerres radioactifs (parads).

    Pour participer à cette action collective d’utilité publique, il suffit d’un appareil photo et d’un bon sens de l’observation. C’est facile, culturel et amusant.

     

    Vous  avez dit radi oactif ? 

    Les paratonnerres protègent les bâtiments des effets destructeurs de la foudre en drainant son énergie vers la terre. Ils seraient plus efficaces quand l’air qui environne leur pointe est fortement ionisé. Au début du XXe siècle, la technique d’ionisation consistait a leur annexer des éléments radioactifs tels que le radium 226 ou l’américium 241. Ce n’est qu’au cours des années 1970-1980, les technologies électroniques ayant pris le relais, que l’on eut conscience de la dangerosité du procédé initial.

    Des centaines de milliers dans le monde ?

    A lui seul, entre 1936 et 1986, un fabriquant français de paratonnerres aurait fabriqué plus de 230.000 parads qui ont été vendus dans le monde entier. Selon nos sources1-2, tous modèles confondus, il y en aurait dans l’Hexagone entre 30 et 50.000, certains ayant presque 80 ans. Mais voilà, personne ne connaît ni leur nombre exact, ni leur emplacement puisqu’ils n’ont jamais été répertoriés.

    Dans un cartable d’écolier

    Un bémol cependant: bien qu’il y en ait beaucoup, beaucoup trop, les premiers résultats de l’inventaire en cours montrent qu’il y en a sans doute moins que ce qu’estiment les experts. En revanche, les quelques dizaines de milliers qui restent se dégradent avec le temps. Nous avons constaté que certains ont perdu des radioéléments qui traînent sur les toits, à même le sol ou dans les réseaux d’eau pluviale (photo du haut). Plus grave, les sources radioactives — en principe scellées — peuvent aboutir dans un cartable d’écolier; c’est arrivé en Belgique après les tempêtes de 1999; ou sur un bureau …comme porte-trombone!

    Sources orphelines

    Selon les administrations1, les associations2, les scientifiques et les industriels3 concernés, les radionucléides qu’ils contiennent sont cancérigènes et mutagènes. Pour les qualifer, ils se disputent deux vocables. Le premier, « FA-VL », est un sigle sèchement explicite qui désigne les déchets radioactifs de Faible-Activité à Vie-Longue. Euphémique, le second inspire la pitié: « Sources orphelines ». Il n’empêche, ces nocives orphelines sont nombreuses, dispersées et vieillissantes. L’inventaire, contribuera à sa façon a débarrasser la planète de cet héritage insidieux.

    Nocifs pendant des milliers d’années

    Les autorités assurent cependant qu’ils ne présentent pas de danger là où ils se trouvent, haut perchés …s’ils sont en bon état. Elles admettent quand même qu’ils resteront nocifs pendant des milliers d’années. Par exemple, la « période » du radium 226 est de 1.602 ans, soit le temps nécessaire pour que sa radioactivité diminue de moitié. Ces radioéléments se nichent sur les clochers, les immeubles d’habitation collectifs et privatifs, les fermes et les coopératives, les phares, les gares, les bâtiments administratifs, les cheminées d’usines, les châteaux; mais aussi, les hôpitaux, les écoles et finalement, en déchetteries.

    Un risque ignoré

    Trop souvent, les élus et ceux qui possèdent ces appareils ne savent rien d’eux. De même, les personnes qui par métier circulent sur les toits: charpentiers, couvreurs, monteurs d’antennes et même quelques pompiers bien que des Services départementaux d’incendie et de secours (Sdis) aient édité des fiches de procédure opérationnelle. Autrement dit, rares sont les personnes conscientes des risques. Sans compter des entreprises qui les connaissent mais qui ne respectent pas la règlementation (voir aussi page Media)

    Mission impossible?

    Paratonnerre radioactif Helita au radium 226En 2006, un fonctionnaire chargé de suivre le dossier déplorait qu’un inventaire relève de la mission impossible. Prouvons-lui qu’avec Internet et la contribution civique des internautes c’est maintenant faisable. Nous avons le temps car le site d’enfouissement définitif dédié aux FA-VL n’a pas encore été choisi. Un retard qui explique pourquoi, contrairement à d’autres pays, la dépose n’est obligatoire en France que pour les installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).

     


    http://www.paratonnerres-radioactifs.fr/?page_id=70

     

     

    PARTICIPER

    Pour participer à l’inventaire, il suffit de:

    I) Faire au moins une photo numérique du paratonnerre, si possible en haute résolution. Une vue générale du bâtiment et un gros plan de l’appareil sont l’idéal. Pour les gros plans, un téléobjectif  (zoom) est recommandé. Exemple:

    Un bon tuyau: sur le câble de descente de mise à la terre, en général à hauteur d’homme, il y à parfois un petit boîtier ou une plaque qui identifie le paratonnerre.

    II) Noter l’adresse postale (obligatoire), et éventuellement les coordonnées GPS de l’appareil. Une copie écran de Google Earth est vivement recommandée. Exemple:

    Clocher: 1, place de l’église, 65230 Castelnau-Magnoac.

    III) Compléter le formulaire en bas de cette page (obligatoire) en indiquant le lieu de votre découverte et le modèle que vous pensez avoir identifié. Vous recevrez en retour la procédure à suivre pour transmettre vos documents. Vous pourrez préciser si vous souhaitez que votre nom ou votre pseudo figurent sur vos images*.

    Vos photos géolocalisées apparaitront sur la carte de l’inventaire et éventuellement dans la page « Photos » dès que nous aurons vérifié qu’il s’agit bien d’un modèle radioactif (compte tenu du nombre de documents a traiter, un délai de trois semaines à un mois est a prévoir).

    S‘il est confirmé que vous avez débusqué un parad, après mise à jour de la carte, nous avertissons l’Andra, la mairie de la commune concernée et dans certains cas, le propriétaire de l’appareil, voire la préfecture.

    Formulaire de contact
    Nom * http://www.paratonnerres-radioactifs.fr/?page_id=70 

     



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  • La France compte des dizaines de milliers de paratonnerres radioactifs qu'un site permet aujourd'hui de signaler.

     

    www.paratonnerres-radioactifs.fr

     

    *

     

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    Bienvenue

    Bienvenue sur le site de l’inventaire national des paratonnerres radioactifs (parads).

    Pour participer à cette action collective d’utilité publique, il suffit d’un appareil photo et d’un bon sens de l’observation. C’est facile, culturel et amusant.

     

    Vous  avez dit radi oactif ? 

    Les paratonnerres protègent les bâtiments des effets destructeurs de la foudre en drainant son énergie vers la terre. Ils seraient plus efficaces quand l’air qui environne leur pointe est fortement ionisé. Au début du XXe siècle, la technique d’ionisation consistait a leur annexer des éléments radioactifs tels que le radium 226 ou l’américium 241. Ce n’est qu’au cours des années 1970-1980, les technologies électroniques ayant pris le relais, que l’on eut conscience de la dangerosité du procédé initial.

    Des centaines de milliers dans le monde ?

    A lui seul, entre 1936 et 1986, un fabriquant français de paratonnerres aurait fabriqué plus de 230.000 parads qui ont été vendus dans le monde entier. Selon nos sources1-2, tous modèles confondus, il y en aurait dans l’Hexagone entre 30 et 50.000, certains ayant presque 80 ans. Mais voilà, personne ne connaît ni leur nombre exact, ni leur emplacement puisqu’ils n’ont jamais été répertoriés.

    Dans un cartable d’écolier

    Un bémol cependant: bien qu’il y en ait beaucoup, beaucoup trop, les premiers résultats de l’inventaire en cours montrent qu’il y en a sans doute moins que ce qu’estiment les experts. En revanche, les quelques dizaines de milliers qui restent se dégradent avec le temps. Nous avons constaté que certains ont perdu des radioéléments qui traînent sur les toits, à même le sol ou dans les réseaux d’eau pluviale (photo du haut). Plus grave, les sources radioactives — en principe scellées — peuvent aboutir dans un cartable d’écolier; c’est arrivé en Belgique après les tempêtes de 1999; ou sur un bureau …comme porte-trombone!

    Sources orphelines

    Selon les administrations1, les associations2, les scientifiques et les industriels3 concernés, les radionucléides qu’ils contiennent sont cancérigènes et mutagènes. Pour les qualifer, ils se disputent deux vocables. Le premier, « FA-VL », est un sigle sèchement explicite qui désigne les déchets radioactifs de Faible-Activité à Vie-Longue. Euphémique, le second inspire la pitié: « Sources orphelines ». Il n’empêche, ces nocives orphelines sont nombreuses, dispersées et vieillissantes. L’inventaire, contribuera à sa façon a débarrasser la planète de cet héritage insidieux.

    Nocifs pendant des milliers d’années

    Les autorités assurent cependant qu’ils ne présentent pas de danger là où ils se trouvent, haut perchés …s’ils sont en bon état. Elles admettent quand même qu’ils resteront nocifs pendant des milliers d’années. Par exemple, la « période » du radium 226 est de 1.602 ans, soit le temps nécessaire pour que sa radioactivité diminue de moitié. Ces radioéléments se nichent sur les clochers, les immeubles d’habitation collectifs et privatifs, les fermes et les coopératives, les phares, les gares, les bâtiments administratifs, les cheminées d’usines, les châteaux; mais aussi, les hôpitaux, les écoles et finalement, en déchetteries.

    Un risque ignoré

    Trop souvent, les élus et ceux qui possèdent ces appareils ne savent rien d’eux. De même, les personnes qui par métier circulent sur les toits: charpentiers, couvreurs, monteurs d’antennes et même quelques pompiers bien que des Services départementaux d’incendie et de secours (Sdis) aient édité des fiches de procédure opérationnelle. Autrement dit, rares sont les personnes conscientes des risques. Sans compter des entreprises qui les connaissent mais qui ne respectent pas la règlementation (voir aussi page Media)

    Mission impossible?

    Paratonnerre radioactif Helita au radium 226En 2006, un fonctionnaire chargé de suivre le dossier déplorait qu’un inventaire relève de la mission impossible. Prouvons-lui qu’avec Internet et la contribution civique des internautes c’est maintenant faisable. Nous avons le temps car le site d’enfouissement définitif dédié aux FA-VL n’a pas encore été choisi. Un retard qui explique pourquoi, contrairement à d’autres pays, la dépose n’est obligatoire en France que pour les installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).

     


    http://www.paratonnerres-radioactifs.fr/?page_id=70

     

     

    PARTICIPER

    Pour participer à l’inventaire, il suffit de:

    I) Faire au moins une photo numérique du paratonnerre, si possible en haute résolution. Une vue générale du bâtiment et un gros plan de l’appareil sont l’idéal. Pour les gros plans, un téléobjectif  (zoom) est recommandé. Exemple:

    Un bon tuyau: sur le câble de descente de mise à la terre, en général à hauteur d’homme, il y à parfois un petit boîtier ou une plaque qui identifie le paratonnerre.

    II) Noter l’adresse postale (obligatoire), et éventuellement les coordonnées GPS de l’appareil. Une copie écran de Google Earth est vivement recommandée. Exemple:

    Clocher: 1, place de l’église, 65230 Castelnau-Magnoac.

    III) Compléter le formulaire en bas de cette page (obligatoire) en indiquant le lieu de votre découverte et le modèle que vous pensez avoir identifié. Vous recevrez en retour la procédure à suivre pour transmettre vos documents. Vous pourrez préciser si vous souhaitez que votre nom ou votre pseudo figurent sur vos images*.

    Vos photos géolocalisées apparaitront sur la carte de l’inventaire et éventuellement dans la page « Photos » dès que nous aurons vérifié qu’il s’agit bien d’un modèle radioactif (compte tenu du nombre de documents a traiter, un délai de trois semaines à un mois est a prévoir).

    S‘il est confirmé que vous avez débusqué un parad, après mise à jour de la carte, nous avertissons l’Andra, la mairie de la commune concernée et dans certains cas, le propriétaire de l’appareil, voire la préfecture.

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                           http://www.ultrashape.lu/pictures/studio-patient-medecin.png

    C'est une dame, très très BCBG, qui habite NEUILLY et se rend en Porsche
    > > chez son médecin, Avenue FOCH...
    > > Elle rentre dans le cabinet du médecin et s'écrie toute affolée : - Docteur,
    > > c'est affreux, j'ai été piquée par une guêpe !
    > > - Allons Madame, calmez-vous, répond le médecin, ce n'est sans doute pas
    > > bien grave.
    > > - Mais enfin docteur, vous ne vous rendez pas compte, c'est extrêmement....
    > > comment dire...
    > > c'est horriblement gênant, voyez-vous...
    > > - Si vous me disiez d'abord où avez-vous été piquée au juste ?
    > > - Ah ça non, n'y comptez pas, c'est hors de question !
    > > - Mais enfin, je suis médecin, je...
    > > - Non non et non ! C'est bien trop embarrassant...
    > > Vous soignez la plupart de mes amies, et si l'une d'elles apprenait une
    > > chose pareille, je serais la risée de tous dans les dîners mondains. C'est
    > > bien simple, je n'oserais même plus sortir de chez moi.
    > > - Mais enfin Madame, commence à s'énerver le toubib, je suis tenu par le
    > > secret professionnel, et comment voulez-vous que je vous soigne si j'ignore
    > > où cette guêpe vous a piquée ?
    > > - Docteur, vous me jurez que vous n'en parlerez à personne ?
    > > - Vous avez ma parole, madame.
    > > Alors la dame s'approche de son médecin et, après avoir jeté un rapide coup
    > > d'oeil à droite et à gauche pour s'assurer qu'ils sont bien seuls dans la
    > > pièce, elle lui murmure tout bas à l'oreille :
    >

     

    >  Chez Leader Price.


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