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       Vietnam : exploration de la plus vaste grotte du monde

    Des spéléologues anglais avaient découvert au printemps 2009, dans la jungle de Hang Son Doong, au Vietnam, une grotte géante. La plus grande du monde. Les spéléologues ont enfin pu l'explorer et y ont découvert des cours d'eau sous-terrains et une forêt tropicale.

    Le dernier numéro de National Geographic rapporte que la grotte la plus vaste du monde vient d'être explorée au Vietnam, après avoir été découverte pour la première fois en 2009. Cette grotte a, par endroits, une hauteur de 80 mètres sur 80 mètres de large. A d'autres endroits, les dimensions peuvent aller jusqu'à 240 mètres de hauteur sous voûte. Du jamais vu.

    L'entrée de cette grotte était connue depuis 1991 par les habitants locaux mais ils en avaient trop peur pour s'y aventurer. Quant aux précédentes expéditions réalisées dans la région, elles étaient toujours passées à proximité (quelques centaines de mètres) sans jamais la découvrir. En effet, la grotte est complètement cachée par la jungle.

    L'équipe de spéléologues  a également découvert une rivière courant sur les premiers kilomètres de la caverne ainsi que des stalagmites de plus de 70 mètres de haut. Ces mesures, réalisées par laser permettent de déterminer au millimètre près les différentes tailles. Grâce à ces technologies, d'autres mesures devront être effectuées sur les grottes déjà connues, elles se révéleraient en réalité plus petites que ce qui était jusqu'alors estimé. 

    Quoiqu'il en soit, la grotte de Hang Son Doong est incontestablement la plus grande jamais découverte, trois fois la taille du stade de Wembley à Londres indique Andy Eavis, le président de l'Union internationale de spéléologie, située en France.

     

                       

     


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     Au début de son règne, Louis XVI offrit à la reine Marie-Antoinette le Petit Trianon. Des travaux furent alors menés pour aménager ce petit château ainsi que son jardin : commencée en 1774, la réalisation du jardin anglo-chinois s'acheva en 1782 par le rocher de Trianon, introduction au paysage suisse, qui rappelait à Marie-Antoinette les décors alpins de son enfanceb . Mais le défi était pour elle terminé et il lui fallait en relever un nouveau. Au même moment, le prince de Condé terminait de construire, dans le parc de son château de Chantilly, un hameau composé de sept bâtiments couverts de chaume, paraissant des demeures ou des ateliers de paysans. La mode se déployait en Europe, les grands seigneurs ménageaient aux visiteurs des surprises magiques et s'amusaient à la vacherie ou au mouline . On y trouvait un reflet du culte à la Rousseau pour la simple vie rurale et le rappel des vertus ancestrales.

    L'aspect rustique de l'extérieur contrastait avec le raffinement de l'ameublement, selon un principe qui fut aussi retenu pour les dernières fabriques du Petit Trianon. La Reine était admirative de la chaumière aux coquillages que la princesse de Lamballe avait fait ériger dans le domaine du château de Rambouilletg , ainsi que des fabriques de « Mesdames Tantes », au château de Bellevue. Les spectacles étant à Versailles pain quotidien, on étudia la composition du hameau comme un décor de théâtre représentant un village français, surplombé par un salon-belvédèrenote . Si ce dernier ne fut finalement jamais construit, on en conserva l'esprita .

    La jeune reine avait pris à cœur le rôle de bergère qu'elle avait tenu dans certaines des pièces données dans son théâtre personnelb  et avait pris goût à cette vie de comédie champêtre de telle façon qu'elle souhaita posséder son propre hameaunote . Ce nouveau projet, qui devait poursuivre le rêve de la souveraine d'un jardin parfait, fut parfois critiqué jusqu'à la calomnie, alors qu'il était conçu, à l'inverse, afin d'éviter toute extravaganceb . L'éducation des enfants royaux était également un des buts de ce projet.


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     Au début de son règne, Louis XVI offrit à la reine Marie-Antoinette le Petit Trianon. Des travaux furent alors menés pour aménager ce petit château ainsi que son jardin : commencée en 1774, la réalisation du jardin anglo-chinois s'acheva en 1782 par le rocher de Trianon, introduction au paysage suisse, qui rappelait à Marie-Antoinette les décors alpins de son enfanceb . Mais le défi était pour elle terminé et il lui fallait en relever un nouveau. Au même moment, le prince de Condé terminait de construire, dans le parc de son château de Chantilly, un hameau composé de sept bâtiments couverts de chaume, paraissant des demeures ou des ateliers de paysans. La mode se déployait en Europe, les grands seigneurs ménageaient aux visiteurs des surprises magiques et s'amusaient à la vacherie ou au mouline . On y trouvait un reflet du culte à la Rousseau pour la simple vie rurale et le rappel des vertus ancestrales.

    L'aspect rustique de l'extérieur contrastait avec le raffinement de l'ameublement, selon un principe qui fut aussi retenu pour les dernières fabriques du Petit Trianon. La Reine était admirative de la chaumière aux coquillages que la princesse de Lamballe avait fait ériger dans le domaine du château de Rambouilletg , ainsi que des fabriques de « Mesdames Tantes », au château de Bellevue. Les spectacles étant à Versailles pain quotidien, on étudia la composition du hameau comme un décor de théâtre représentant un village français, surplombé par un salon-belvédèrenote . Si ce dernier ne fut finalement jamais construit, on en conserva l'esprita .

    La jeune reine avait pris à cœur le rôle de bergère qu'elle avait tenu dans certaines des pièces données dans son théâtre personnelb  et avait pris goût à cette vie de comédie champêtre de telle façon qu'elle souhaita posséder son propre hameaunote . Ce nouveau projet, qui devait poursuivre le rêve de la souveraine d'un jardin parfait, fut parfois critiqué jusqu'à la calomnie, alors qu'il était conçu, à l'inverse, afin d'éviter toute extravaganceb . L'éducation des enfants royaux était également un des buts de ce projet.


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