• que dieu sauve le roi  :

       l'hymne national anglais est d'origine française 

                                                         God save the Queen

     

                           .Louis XIV of France.jpg

     

     

     

    *Dans son ouvrage Souvenir la Marquise de Créquy évoque une origine française de l’hymne.
    L'ancêtre du « God save the King » serait la chanson « Grand Dieu sauve le Roi », écrite en 1886 par la duchesse de Brinon, supérieure de la Maison royale de Saint-Louis (futur lycée militaire de Saint-Cyr) pour l'inauguration de son établissement en septembre par le roi Louis XIV , alors malade. Pour les paroles, elle s'inspira du motet traditionnel,L'hymne de Saint Cyr ayant été exécuté en novembre de la même année, Jean-Baptiste Lully le reprend dans son Te deum, composé en 1687, pour célébrer la réussite de cette opération chirurgicale d'une fistule anale, ce qui donna lieu à des festivités considérables dans tout le royaume, popularisant ainsi l'hymne.
    Par ailleurs, traduite en latin « Domine, salvum fac regem », elle devient l'hymne royal français jusqu'en 1792, date de la dissolution de la monarchie.
                         .

    463px-Grand Royal Coat of Arms of France & Navarre svg

    Le Fils de Henry Carey, après la mort de celui-ci, réclama que son père soit reconnu comme auteur de l’hymne.
    Il existerait au Chateau de Versailles une pendule datant de la periode de 1700-1750 qui sonne l'air de« Grand Dieu sauve le Roi »
    La chanson aurait été reprise par Haendel qui l'aurait par la suite vendue a la couronne Britannique pour devenir un hymne royal.
    La chanson aurait été reprise par Haendel , peut-être à la suite d'une visite à Versailles. Il l'aurait par la suite vendu à la couronne britannique pour en faire un hymne royal,ce qui lui vaut aujourd'hui la paternité de l'œuvre.
    La chanson serait devenue populaire l'année suivante, après le débarquement de Charles Édouard Stuart, qui marque la fin des espoirs des Stuart de remonter sur le trône anglais. Les Hanovre, victorieux, adoptent cet air comme hymne royal britannique.

    A noter également que cet hymne fut traduit en allemand en 1790, en pleine période révolutionnaire, perçu alors comme un hymne royal célébrant l'Ancien Régime et non un hymne anglais comme aujourd'hui. Il a été pour cette raison choisi pour être l'hymne de l'empereur d'Allemagne, tant du Roi de Prusse que de l'Empereur d'Autriche-Hongrie, pays où il était chanté quotidiennement par tous les écoliers jusqu'en 1918.
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  • Ivan Salmon dit Victor Noir est né le 27 juillet 1848 à Attigny dans les Vosges.

    Offense chèrement payée

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    Victor Noir, à peine âgé de 22 ans
    Le prince Pierre Bonaparte s'estime diffamé par un article de La Marseillaise. Il provoque en duel son rédacteur en chef, Pascal Grousset. Ce dernier envoie Victor Noir et un ami au domicile du prince, 9, rue d'Auteuil, en vue d'organiser le duel. L'entrevue se passe mal. Victor Noir, semble-t-il, lève sa canne sur le prince et celui-ci, se saisissant d'un pistolet, fait feu sur le jeune homme et le tue net.

     

                                         *Fichier:Tombe Victor Noir.jpg

    Le meurtre de Victor Noir conduit le prince Pierre Bonaparte devant la Haute Cour de Justice, comme l’exige son rang. Après des débats houleux, le prince sera reconnu non coupable d’homicide volontaire, la légitime défense est reconnue et le prince est acquitté. Il est tout de même condamné à payer 25 000 f de dommages et intérêts aux époux Salmon, défendus par Maître Bernheim, eux-mêmes condamnés aux dépens envers l’état du procès criminel. L’Empereur Napoléon III demande à son cousin de quitter Paris pour éviter les troubles prévisibles. Le prince refuse ne se sentant pas responsable de la mort de Victor Noir.

    En 1885, les restes de Victor Noir sont conduits au Père Lachaise au cours d’une cérémonie commémorative. La République honore ainsi un martyr de la foi républicaine. Son tombeau est élevé par souscription nationale. On confie à Jules Dalou, ancien élève de Carpeaux (1827-1875 la réalisation du monument. Ce n’est pas un hasard, réfugié à l’étranger pendant la Commune, Dalou est devenu le statuaire de la République. Le monument est achevé en 1886. Le transfert des restes mortels de Neuilly à Paris donnent lieu à une anecdote d’un goût discutable : Louis Noir, assistant à l’exhumation, demande de se recueillir quelques instants sur la dépouille. Dévissant rapidement le couvercle du cercueil, il s’empare du crâne de son frère qu’il cache dans un panier. Georges d’Esparbès surprend cette manœuvre macabre, s’écrie, mais s’incline devant ce geste d’amour fraternel. Cette relique, est conservée sous globe. Louis Noir dialoguait assez souvent avec les mânes de son frère et l’interrogeait régulièrement. Le crâne fut restitué et a rejoint depuis la dépouille au Père Lachaise.

                                         * Victor Noir

    De nos jours, cette sépulture jouit d’une réputation un brin bizarre, certains attouchements avec la partie virile du gisant, oeuvre de Dalou, seraient censés apporter, amour et fécondité aux jeunes filles et femmes en mal de tendresse (sic).

    Cette croyance ou légende serait née d’une blague d’étudiants avec la complicité d’un employé des lieux, la virilité du gisant ayant subi un traitement lui rendant l’aspect brillant d’origine du bronze.

    Cette fable fut reprise sous la plume de divers auteurs et est aujourd’hui très répandue parmi les visiteurs du Père Lachaise. Quoi qu’il en soit, ce monument mérite d’être visité et son occupant respecté.

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    Dita_Mourth christophe Mourthe

     

    http://farm3.static.flickr.com/2187/2234255601_a52bccb284.jpg

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    Le brave Victor rendrait les femmes fertiles, rendrait votre vie sexuelle follement torride et favoriserait les amours désirés !!!

    Pour que vos vœux s’exhaussent il y a deux écoles : la plus soft prétend qu’il vous faut , madame , placer une fleur dans le chapeau de notre héros , puis l’embrasser sur les lèvres avant de , finalement , lui frotter gentiment l’entrejambe … Ceci est donc la version conte de fée , fleur bleue , Barbie , américaine , bref , vous me comprenez …
    L’autre version est qu’il vous faut , ma pauvre dame , chevaucher le gisant à cru , si je puis dire ( vous comprendrez avec zéro intermédiaire en tissu , cuir , fourrure , latex ou autre ( enfin déjà là je pense avoir fait le tour car j’en cite des bizarres quand même) entre votre Frifri et le bronze de la statue) , vous disposez pour cela de différentes proéminences , le sexe bien sûr , mais aussi le nez , les lèvres , le menton et même les bottes du Monsieur !!

    Photo De James Robinson

     

    Le lustrement excessif de certaines parties du bronze atteste que la légende marche. Il est ainsi devenu une des tombes vedette du cimetière.
    Il y a quelques années la direction du Père Lachaise avait même décidé de fermer l’espace autour du tombeau afin d’empêcher les femmes de se frotter à notre héros, mais devant les protestations véhémentes qui lui furent alors adressées, elle décida de retirer les barrières. Ainsi, tous les jours, les gardiens continuent à surprendre des femmes plus ou moins vêtues en train de s’ébattre joyeusement avec Victor sous l’œil des promeneurs et des nombreux voyeurs.


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  • le-cheque-a-travers-les-ages.jpg

     

      question de Denise !!

    Qui a inventé le chèque bancaire ?

    chèqueL'ancêtre du chèque bancaire est la lettre de change, inventée au 4è siècle av. J.-C. par les Grecs : elle permettait de voyager sans transporter d'espèces.

    Au 12è siècle, l'idée est reprise par les chevaliers templiers, qui développent l'usage de "bons à payer" pour éviter d'être pillés par l'ennemi.

     

    Un siècle plus tard naissent en Italie les premières banques. C'est à Pise que le plus ancien chèque connu est émis, en 1374. L'usage se développe en Angleterre au 18è siècle et en Europe occidentale au 19è siècle.

    Le chèque est introduit en France par une loi du 14 juin 1865.

     

     


          Petite histoire de la monnaie

    Vers 3000 av. J.-C. : le temple rouge d'Ourouk, ville mésopotamienne, est la première banque ; les reçus des dépôts sont des briquettes d'argile.

    On a trouvé à Mohenjo Daro, dans la vallée de l’Indus, des barres de cuivre oblongues, revêtues d’empreintes, que l’on peut dater du début du IIIe millénaire avant J.-C.

    Au IIe millénaire, les Hittites se servent de lingots de fer.

    Le code d’Hammourabi (vers 1760 av. J.-C.) évalue des gages en poids d’argent ; banquiers et marchands prêtent indifféremment en argent ou en orge.

    Au XIIe siècle, les Doriens utilisent des lingots de fer.

    En Extrême-Orient les premières monnaies apparaissent en Chine au XIe siècle av. J.-C. : les « monnaies bêches », puis, au Xe siècle, les « monnaies couteaux » (à cause de leurs formes).

    Vers 1000 av. J.-C., sous la dynastie des empereurs Tcheous, circule une sorte de billet de banque : une pièce carrée d'étoffe.

    Vers 700 avant J.-C., le roi assyrien Sennachérib se sert de saumons de plomb.

    Vers 687/675 av. J.-C. : Ardys, roi de Lydie, en Asie Mineure, crée une véritable monnaie avec de petits lingots d'électrum (alliage naturel d'or et d'argent) trouvés dans le fleuve Pactole.

    La monnaie apparaît en Grèce au milieu du VIIe siècle avant J.-C. et dès l’origine fait l’objet d’un marquage, d’abord par de simples poinçons, puis par des emblèmes (animaux, végétaux, figures anthropomorphes) qui ont pour fonction d’identifier la cité.
    C’est au roi Phidon d’Argos, un réformateur des poids et mesures, qu’on attribue l’invention de la monnaie en Grèce.

    En Asie Mineure, vers 550, Crésus, le premier, frappe double monnayage, or et argent, dans des pièces plus pures et plus légères : les créséides.

    Au VIe siècle av. J.-C., les Perses achéménides s'emparent de l'Empire babylonien et des royaumes lydiens. Ils battent monnaie à leur tour, sur la base du bimétallisme : or et argent. Sous Darius, vers 510, l’Empire perse frappe la darique.

    Athènes donne enfin une base monétaire à sa prépondérance : la chouette de son tétradrachme d’argent se répand dans tout le bassin méditerranéen de 476 à 413.

    Environ 450 ans avant notre ère, les cités grecques créent des banques publiques.
    L'une des plus anciennes de ces banques publiques est celle de la ville de Sinope, administrés au IVe siècle avant J.-C. par le père de Diogène le Cynique, assisté de celui-ci. A eux deux, ils imaginent une manipulation monétaire qui les fait condamner au bannissement pour fabrication de fausse monnaie ; en réalité, il s'agissait d'une dévaluation (diminution du titre de l'argent dans la drachme).

    Les banquiers de l'Antiquité grecque ont inventé la lettre de change.
    Dans son discours sur la banque, l'orateur athénien Isocrate parle de ce mode de paiement qui évite d'emporter en voyage de grosses sommes en numéraire.

    Dès le IVe siècle avant J.-C., les Gaulois copient sans scrupules les statères d’or de Philippe de Macédoine.

    En Chine, circulent les « sapèques », les célèbres pièces « Qian », en cuivre, rondes, percées d'un trou carré, qui auront cours durant deux millénaires.

    Les argentariae novae, boutiques de dépôts, de prêts et de changes, existent à Rome depuis le IVe siècle.

    Vers 300 avant J.-C., Rome « invente » sa propre monnaie sur le modèle grec en frappant un didrachme d’argent représentant au droit Mars casqué et au revers une tête de cheval avec la légende « ROMANO ».

    Le premier papier-monnaie est émis en Chine sous l'empereur Wudi en 119 av. J.-C.

    En 538, le franc Théodebert Ier frappe une monnaie d’or à son nom.

    « Si quelqu’un a mis une effigie sur de l’or ou frappé une monnaie sans l’ordre du roi, qu’il ait la main coupée » dit une loi du roi lombard Rotharis, vers 640.

    Sous Abd el-Malik apparaissent, en 695, les premières pièces d’or [le dinar (de « dinarius »)] et d’argent [le « dirhem » (de drachme)] de l’islam.

    Louis le Pieux (813-840) tente sans succès de recréer une monnaie d'or, le « solidus » (sou).

    L'usage du papier-monnaie est courant en Chine au IXe siècle de notre ère sous l'empereur Xian Zong (806 820).
     
    Auteur : Jean-Paul Coudeyrette
    Référence publication : Compilhistoire.
    Texte libre de tous droits pour un usage non lucratif ; reproduction interdite sans autorisation.

    Date de mise à jour : 05/07/2011           http://compilhistoire.pagesperso-orange.fr/monnaie.htm

     

     Dès le IVe siècle avant J.-C., les Gaulois copient sans scrupules les statères d’or de Philippe de Macédoine.

        

    Petite histoire de la monnaie

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    Le troc

    Lors d'un troc un échange a lieu de façon immédiate ou différée dans le temps. Si l'échange est immédiat le seul problème à résoudre, mais qui n'est pas des moindres, est celui de l'équité de l'échange.

     

    La mesure

    Pour qu'un troc soit équitable, il convient que ceux qui s'échangent, par exemple, des chêvres contre du blé, soient capables de comparer un nombre X de chêvres et une quantité Y de blé. Et cela suppose non seulement d'être capable de compter des chêvres, de mesurer des quantité de blé, mais aussi de concevoir, et de s'entendre sur le dénominateur commun à ce comptage et à cette mesure. Donc cela impose la capacité à « penser » l'abstraction du nombre, puis de la valeur. Et cela s'est produit pendant des millénaires bien avant l'invention de l'agriculture, de  l'écriture et de la monnaie.

       

    On a retrouvé, à Nuzi (mésopotamie), une bourse d'argile creuse qui est déjà une évolution de cette première forme. En surface on trouve l'inscription « objet contenant des moutons et des chèvres », puis l'énumération :
    « 21 brebis qui ont déjà eu des petits
    « 6 agneaux femelles
    « 8 béliers adultes
    « 4 agneaux mâles
    « 6 chèvres qui on déjà eu des petits
    « 1 bouc
    « 2 chevrettes ».
    A l'intérieur il y a 48 boules d'argile cru.

     

    Os de loup muni de 55 encoches regroupées par 5 , retrouvé en Tchécoslovaquie, 30.000 ans avant JC.

    Le plus vieux des documents arithmétiques date d'environ 35.000 ans avant JC. Il s'agit d'un péroné de babouin muni de 29 encoches.

     


     

    Avoirs et dettes "en comptes" ... 2000 ans av JC ! 

    La monnaie virtuelle ou scripturaire a réellement précédé l'usage de supports uniques (coquillages, pièces frappées, etc...) de mille ans au moins.

     


    "On a retrouvé à Tellô plus de 80 000 tablettes datant du règne de Goudéa, prince de Lagash (Tellô), 2 500 ans av. J.C. On a également mis à jour des comptes intéressants à Ur. Ils montrent que l'industrie métallurgique, l'industrie textile, le bâtiment, la fabrication des parfums étaient développés et que la comptabilité suivait étroitement la production."

    Du point de vue technique : "La technique d'enregistrement des comptes évolua durant ces quatre millénaires (de 6000 à 2000 av JC). Joseph H. Vlaemminck (1956) note qu'au point de vue de l'écriture, les textes de la IIIe dynastie d'Ur (IIIe millénaire av. J.C.) que l'on possède en grand nombre, présentent un net progrès.

    Dès cette époque, les tablettes distinguent tous les éléments caractéristiques d'un compte : la nature des objets de la transaction, le nom des contractants, les quantités livrées, les montants totaux. De nombreuses tablettes vont même plus loin, en indiquant la situation de la période précédente (solde), les augmentations séparées des diminutions et le solde de fin de période. Ces comptes sont du type "à postes superposés", c'est-à-dire comportant les augmentations en haut et les diminutions en bas ou vice-versa."

    http://curieux.morenon.fr/ZCu01.html

     

     

    cheque-en-bois.jpg

     

    Cheikh-sans-provision.jpghttp://www.tekit.fr/contentFiles/cb-4028.jpg

     

     

                                                                   http://www.planete-sfactory.com/images/upload/DECO-CADO/Blague-bourse.jpg


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  • L’œuf de Christophe Colomb Une idée ingénieuse, mais qui semble évidente, est souvent rapprochée de ce mythique œuf de Colomb, avec la formule consacrée également attribuée au navigateur génois : « C’est simple, il suffisait d’y penser ».

    oeufs-en-equilibre.jpg

     

    un lien excellent a lire

         http://cristobal-colon.net/Dossiers/C10p1p2.htm 

    l-oeuf-de-colomb.jpg



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    muguet-porte-bonheur.jpg

      Les noces de muguet symbolisent les 13 ans de mariage dans le folklore français.

    Le 1er mai, on offre traditionnellement du muguet « porte-bonheur » car il fleurit aux alentours de cette date. Cette tradition est très présente, entre autres, en France, en Suisse, en Belgique et en Andorre. Pour certains[Qui ?], seuls les brins de muguet ayant spontanément et naturellement treize fleurs portent bonheur.

    D'après le langage des fleurs, le muguet signifie « retour du bonheur ».

    Depuis 1982, le muguet est la fleur nationale de la Finlande. 

     

    mars 2011 fleurs 021

     

     

     Le muguet est tonicardiaque et diurétique. La présence de l'hétérosides cardiotoniques, entre autres de la convallatoxine, de la convallamarine et la convallarine, la rend toxique. L'effet est de ralentir le rythme cardiaque et d'augmenter la pression artérielle ; en outre, il a une action diurétique par irritation de l'épithélium rénal. Toutes les parties de la plante sont toxiques. Comme beaucoup d'autres plantes toxiques, à dose adéquate, elle a des propriétés pharmacologiques, et a été utilisée dans le traitement de maladies cardiaques particulières. Attention, son usage domestique est à proscrire du fait de son inintérêt et du danger mortel qu'il ferait courir. La convallatoxine a une action proche de la digitaline et de l'ouabaïne, pour avoir une idée de la réelle toxicité.
    L'ingestion provoque des troubles digestifs constitués d'irritation de la bouche, de douleurs abdominales, de nausées, de vomissements, de diarrhées. Ensuite surviennent les troubles du rythme cardiaque accompagnés d'une accélération de la respiration. La mort est provoquée par arrêt cardiaque 

     

      Fichier:1 of May, 1851.jpg - Wikipedia Orange 

     

             1er mai, par Franz Xaver Winterhalter

     

                     

     

          

        Les Hommes et le Muguet... 

    "Les hommes ont toujours vu, dans le muguet, un porte-bonheur. Privilège enviable qu'il partage avec le fer à cheval, le nombre 13 et la crotte de chien. Moins encombrant que le premier, moins abstrait que le second, moins direct que le troisième, il possède en outre l'avantage de pouvoir se porter à la boutonnière." (l'humoriste:  Jean-Paul Lacroix) 

     

     Les Belles Mères et le Muguet... 

    "Le 1er Mai, c'est le muguet, ces jolies petites clochettes blanches que l'on peut vendre sans   autorisation dans la rue, et dont l'odeur est délicieuse... mais aussi délicieusement nocive. Si vous voulez vous débarasser de votre belle-mère, offrez-lui un gros bouquet de muguet, dont les émanations, à hautes doses, peuvent provoquer un arrêt du coeur."

     

                                                  


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