• La roche tremblante , c' est l'image touristique du Huelgoat

    http://pickland.chez-alice.fr/rochtramblante.htm


     
    La roche tremblante (130 tonnes) Roc'h kren

    Pierre géante de 130 tonnes qui oscille légèrement par une simple pression du dos à un endroit précis 

    La roche tremblante , c' est  l'image touristique du Huelgoat

    La tradition locale veut c'est  celle ci est une roche  rescapée d'une carrière de granit.) Elle n'a rien de monument mégalithique . C' est une curiosité touristique aménagée par le "syndicat d' initiative" du temps du Second -Empire.  

    130 tonnes au bout d'un doigt  


      

    Des légendes sur l'origine des rochers du Huelgoat sont des créations récentes


    Les bourgs de Berrien et de Plouyé, jadis, s'en voulaient à mort. Et non


    seulement les paroissiens mais aussi leurs recteurs, ce qui est fort mal


    pour des gens d'église. Ils s'en voulaient à tel point, que ces derniers, de


    leur paroisse respective, en vinrent à se bombarder à coup de rochers. Ils


    avaient trop présumé de  leurs forces et les pierres tombèrent à mi-route


    sur la paroisse d'Huelgoat formant le Chaos du Moulin. Mais


    , explique-t-on : le recteur de Plouyé avait un tir plus long. Aussi la rive de


    Berrien est-elle plus profondément parsemée de blocs que celle de


    Plouyé.' Ce texte est d'inspiration anticléricalisme prouve bien qu'il est récent.

     lors de sa venue dans ce coin de Cornouaille; Gargantua ne s'était vu servir dans une ferme que de la bouillie de sarrasin. Furieux d'un si triste repas, il passa bien vite en terre léonarde et pour se venger lança, vers ce pays d'Huelgoat, tous les rochers qu'il rencontrait sur sa route jusqu'à la mer. C'est pourquoi les terres du Léon sont si fertiles et celles de. Haute Cornouaille si pauvres et caillouteuses A sa lecture ,ce texte sonne faux ,il n'a pas la trame d'un conte breton  ,il nomme  le géant par celui de Rabelais  français le Gargantua des manuels de lecture du certificat d'études  mais pas de nom breton comme le  GWARN de Saint Herbot, ni celui  de celui du conteur de Botmeur  le Hok-bras de 1874 .Cela  prouve bien  mes affirmations ,

    ces légendes  ont été compilées par l' instituteur de l'école publique  du pays pour un dépliant du SI.

    La légende du hok-bras

    Le géant du Huelgoat s'appelle  Hok-bras et non Gargantua.( la légende


     ne dit pas qu'il est à l origine des rochers mais il  n'a fait que rouler des


    rochers des collines pour créer notre chaos du Saoulec ) , son nom  vient


    soi ,du  héros celtique OGMIOS,Le "dieu" bouvier et des


    pierres, colosse aux pouvoirs magiques dont l’attribut était une


    chaîne. l'Héraclés celtique,le seigneur des anneaux, ou  de Sucellos , Le


    S primitif gaulois a évolué en breton moderne un H soi sok ou suk


    dénunitif de Sucellos .N'est -il pas l'Ankou breton ou Merlin


    ambrossius?


    Huelgoat  de même  serait Sukeloceton (le bois de Sucellos)---- Le bois de


    l'Ankou


    Les légendes bretonnes ont toujours  une référence chrétienne qui


    cachent une origine païenne  .Il faut savoir que les légendes que


    nous trouvons sur tous dépliants ou articles actuels sur


    Huelgoat  ont une origine très récentes vu le style et la trame des récits


     de celles-ci  qui donnent une image méprisante  et miséreuse du monde


    paysan local  ;ce qui est faux .

     

    Ceux sont un des laïcs locaux qui a écrit ces légendes .Depuis 1870


    ,une censure républicaine  s'était instauré au nom du savoir et  de la


    connaissance  qui ne pouvaient être qu' en français  et non en breton


    symbole d'arriérés des campagnes et où toutes références


    religieuses dans leur fief républicain du Huelgoat  étaient à proscrire


    même dans des légendes .


    Elles ont la même trame:des légendes des premiers saints bretons :


    Le héros représentant le nouveau  monde  moderne face l' obscurantisme


    des anciennes croyances mais ici retournement des choses,:c'est l' église


    qui est visée face à la république..


     En suppriment le nom Diable pour le gouffre pour une grotte  dite du


    diable aménagés pour être visiter par les touristes nos laïcs inventèrent


     une légende républicaine pour dénigrer  en arriérés ceux qui sont avec


    les curés  (Un paysan pourchassé par les Chouans s'y serait réfugié.


    Affublé de deux plumes rouges et armé d 'une fourche, il aurait fait fuir


    ses poursuivants persuadés d 'avoir rencontré l'ombre du diable avec ses


    cornes. ) baptisant la Grotte de  la vierge en un ménage en une cuisine de


    la sainte famille de la mère Vierge  .Or j'ai découvert récemment  la


    vrai légende dorée chrétienne de la Vierge

     Sainte Victoire qu'on vénérait

    ses reliques  lors du pardon  des Cieux en 1857 ,

    elle est celle d'un dragon qui vivait dans une grotte et qui empestait la région (Le mythe du Python le serpent  du sanctuaire de Delphes :son nom signifie  la pourrissante ) Je pense que cette grotte  dans la tradition locale autrefois était celle du Ménage de la Vierge dédiée à sainte Victoire : la vierge qui chassa le  dragon de sa grotte dans les rochers du Huelgoat et qui ne peut pas être Notre Dame ou la Sainte Vierge que tout breton appelle"Santez Maria .

    . Un dragon  devait hanter les rochers des rivières du Huelgoat  dans les temps très anciens. En fait les rochers dans les légendes sont des hommes à cause de leurs péchés transformés en pierres par l' homme de Dieu:comme  la légende du saint patron de Carnac Saint Cornély, pape à Rome qui était poursuivi par des soldats païens. Deux bœufs l'accompagnaient qui portaient ses bagages. Un soir, il arriva devant la mer. Les soldats le serraient de près, rangés en bataille. Il se cacha dans l'oreille d'un bœuf et transforma ses ennemis en pierre. Telle serait l'origine des alignements  comme celle  de la légende des alignements  dans le Yeun Elez An Eured Ven, la noce de pierre. qui veut en effet qu'une noce paysanne, possédée par le démon de la danse, ait refusé de laisser le passage au recteur de Brasparts qui allait porter l'extrême-onction à l'un de ses paroissiens mourant. les noceurs,furent  punis pour leur méchante attitude : à la dernière note de la dernière danse, ils furent changés en pierres. Dans la mythologie grecque c'est aussi la métamorphose  des êtres vivants en pierre vis ,versa . Après le déluge de Deucalion et Pyrrha  la Terre furent repeuplés  par les hommes et les femmes à partir de pierres  jetés  par ce couple  .Dans  La  légende de Persée  les Gorgones et la Méduse, dragons terrifiants qui vivaient près du pays des Hespérides ,les filles de l'Occident ,ou du soir (le pays des Osismes pour certains érudits ) , au milieu de formes humaines et de bêtes sauvages que la Méduse avait changées en pierre et que la pluie avait détériorées. C'est étrangement  le paysage du Huelgoat ). Athéna fixa la tête de la Méduse, offerte par Persée, sur son égide . Le sang de Méduse pouvait tuer instantanément s'il provenait de sa veine droite, ressusciter les morts s'il provenait de sa veine gauche. Elle en donna au fondateur de la médecine, Asclépios , fils d'Apollon ,qui ont comme tous les deux les mêmes attributs que Sucellos donner la mort et la vie.

      De grandes quantités d'or se trouvent en Hyperborée, gardées par les griffons dit une légende grecque  .Telle est aussi le Serpent celtique la VOUIVRE qui la gardienne d'un trésor souterrain comme ici le dit une des légendes du  Gouffre du Diable et son Kastell -Gwibel .Toutes les nuits aux environs de la minuit, une ravissante jeune fille apparaissait sur les créneaux. Des jeunes gens voulurent la délivrer, mais dès qu'ils s'en approchaient, un hideux serpent s'enroulait trois fois autour du cou de la belle princesse. Trois fois l'affreuse bête les menaçait de son venin. Celui qui résistait à ce spectacle sans crier pouvait alors délivrer la jeune vierge et, pour le remercier, elle confiait un trésor valant à lui seul le prix de la Bretagne entière.

    Le vrai mythe païen  des chaos de rochers du Huelgoat est celui du Serpent celtique  ( la Méduse  grecque,le Génie des profondeurs  la  Vouivre  ou  le dragon  ) et non d'un géant  qui est toujours un héros malheureux dans ses prouesses et qui meure toujours accidentellement   dans les légendes traditionnelles,

    Dans une société qui était sous la coupe de l' Eglise, le géant de la tradition populaire se devait un amalgame  de plusieurs mythes païens et chrétiens . Il a récupéré les roles du Serpent celtique que l'église considérait être le diable ,du. héros celtique et  il est le païen  d'une culture liée aux esprits de la nature qui va disparaître au devenir de la nouvelle religion  au profit du saint héros ,image du dieu unique qui régente le devenir de tout  homme qui va imposer dans un monde des campagnes en mutation .

     


     la petite roche tremblante(en amont de l'entée de la mare aux sangliers coté camp d' Artus 

    La petite roche tremblante(en amont de l'entrée de la mare aux sangliers coté camp d' Artus

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    *http://www.bretagne-celtic.com/carte_huelgoat.htm

    uelgoat

     

    Site magnifique des monts d'Arrée, la ville de Huelgoat et sa région abritent des curiosités diverses .

    Le nom même de Huelgoat veut dire "la haute forêt" et est formé de Uhel (haut) et Koad (bois ou forêt)

    Vue du Moulin et de la rivière

     

    LE CHAOS : Remarquable amoncellement de rochers fantastiques et une rivière sauvage
    LA GROTTE DU DIABLE : Site légendaire.
    LE MENAGE DE LA VIERGE : Site où l'imagination populaire reconnait la première maison de la vierge.
    LE GOUFFRE: Quand la rivière s'engage dans les entrailles de la terre.
    LA GROTTE D'ARTUS : Site lié au roi Arthur et aux chevaliers de la table ronde.
    LA MARE AUX SANGLIERS : Petit bassin entouré de rochers.
    LA ROCHE TREMBLANTE: Le défi est de la faire bouger.

    LE CAMPS D'ARTUS : Camp gallo-romain.

    LE SITE DE LA MINE : Ancienne mine
    LE PONT ROUGE : Situé sur la rivière d'argent
    LE CHAMPIGNON : Un bien curieux rocher
    LE MENHIR DE KERAMPAULVEN : Au Nord de Huelgoat
    LE MENHIR DU CLOITRE: Au Sud de Huelgoat
    LE MENHIR DE KERLESCLUM: Au Sud de Huelgoat
     

    LE CHAOS

     

     

    Le terme désigne un étonnant amoncellement de blocs rocheux, surgis de la terre il y a des millions d'années et arrondis au fil du temps par l’érosion.

     

    La légende veut que Gargantua, bon géant célébré par Rabelais, se soit vengé du maigre repas que lui avaient offert les habitants en lançant, depuis le Finistère d'énormes galets polis par la mer.

     

     

    LA GROTTE DU DIABLE

     

    Cachée sous le chaos, on y descend par une mince échelle.

    L'eau souterraine jaillit d 'une bouche béante. On raconte qu'un paysan pourchassé par les Chouans s'y serait réfugié. Affublé de deux plumes rouges et armé d'une fourche, il aurait fait fuir ses poursuivants persuadés d 'avoir rencontré l'ombre du diable avec ses cornes !

     

     

    LE MENAGE DE LA VIERGE

     

     

    Autre curiosité mi-païenne, mi-chrétienne, on y distingue dans la forme des roches des ustensiles de cuisine : un chaudron, une louche, une baratte à beurre et un soufflet.

     

    LE GOUFFRE

     

    La légende raconte que Dahut, fille du roi Gradlon et de sa célèbre ville d'Ys, faisait étrangler ses amants nouvellement séduits avant de jeter leurs corps dans ce précipice.

     

     

    LA GROTTE D'ARTUS

     

    La Grotte d'Artus aurait servi de refuge au célèbre roi Arthur.

     

     

    LA MARE AUX SANGLIERS

     

     

    Son nom vient du fait que l'imagination populaire voit dans ces rocher des têtes de sangliers.

     

    LA ROCHE TREMBLANTE

     

     

    Plus de 100 tonnes, elle oscille légèrement d'une simple pression du dos à un endroit précis.
    Ces types de pierres, appelés aussi "rouler", étaient pour les druides le symbole de la puissance de Dieu et de l'équilibre universel.

     

    LE CAMP D'ARTUS

     

    Le camp d'Artus est un exemple typique d'oppidium Gaulois, dont les structures ont été mises en évidences par les fouilles de sir Mortimer Wheeler en 1938.

    Le rempart principal est de type "murus gallico" tel que l'a décrit Jules Cesar dans "De bello gallico" VII 23.

     

    La motte féodale

     

    Une première phase d'occupation a consisté en la construction d'un camp exceptionnellement étendu (30 hectares).

     

    Dans un deuxième temps, la surface du camp a été réduite à la partie nord et le rempart principal a été surélevé pour atteindre et même dépasser 4 mètres de hauteur.

     

    Beaucoup plus tardivement, l'extrémité nord fut choisie pour la construction d'une motte féodale.

     

    En plus du rempart principal, le camp était également protégé par un réseau avancé de lignes de défense : talus, fossés. Mais aussi tours, portes, ponts en bois, situés aux endroits les plus vulnérables, notamment près des portes.

     

    Un tel retranchement n'a pu être prévu que pour la sécurité d'une grande population et pour constituer un point de ralliement en période troublée.
    L'ossature du rempart principal est constituée de poutres entrecroisées, rendues solidaires à l'aide de fiches de fer. Ces poutres sont noyées dans une masse de terre qui est maintenue, du côté externe, par un mur de pierres dans lequel s'encastrent des poutres transversales. Ceci correspond à la description d'un "murus gallicus".

     

    Talus bordant la première partie du camp (vert fonçé sur le plan)

     

    Extrait de "murus gallicus" de Jules César : Tous les murs gaulois sont à peu près formés de cette façon : des poutres se croisant perpendiculairement sont posées sur le sol et se suivent sans interruption sur toute la longueur du mur. Elles sont séparées par un espace de 2 pieds. Elles sont rendues solidaires entre elles et recouvertes par une masse de terre, tandis que les espaces sus-mentionnés sont pavés extérieurement de pierres. Quand cette rangée est réalisée et consolidée, une seconde semblable est rajoutée par dessus en respectant les mêmes intervalles, de telle façon qu'elle ne touche pas la première mais en soit séparée par un rang de pierres. L'ouvrage est ainsi continué, niveau par niveau, jusqu'à ce que le mur ait atteint le hauteur désirée. Un tel ouvrage offre un aspect varié, par l'alternance des poutres et des pierres et est particulièrement approprié à la défense des villes. En effet, les pierres protègent du feu et le réseau de poutres des coups de bélier qui ne peut ni briser, ni disloquer une ossature ininterrompue constituée de poutres longues en général de quarante pieds, qui sont reliées les unes aux autres".

     

    LA MINE

     

     

    Ancienne laverie

    La mine se situant sur plusieurs communes. Elle fût exploitée pour le première fois au Moyen-Age et pendant une centaine d'années.

     

    Au XVIIIè siècle la production annuelle était entre 600 et 700 tonnes de plomb et près de 2 tonnes d'argent .Elle employait environ 1600 personnes.

     

    C'est en 1934 que la mine fermera définitivement ses portes.

     

     

    LE PONT ROUGE

     

    Situé sur la rivière d'argent

     

    LE CHAMPIGNON

     

     

    « Le champignon » ressemble effectivement à un énorme cèpe, mais il est en granit et doit peser environ 200 tonnes

     

    A proximité de la route de Berrien, à la sortie de l’agglomération, « le Champignon » situé dans une propriété privée et totalement masqué par un épais rideau d’arbres, d’arbustes et végétaux de toute nature, a été « oublié ». Il a été décidé d’acquérir la propriété dans laquelle « il trône » et de réaliser les travaux de nettoyage du site.

    Accès au champignon

    LE MENHIR DE KERAMPAULVEN.

     

    Situé au nord de Huelgoat..

    LE MENHIR DU CLOITRE

     

    Situé au lieu dit portant le même nom au sud de la ville, dommage que ce menhir soit sur une propriété privée.
     

    LE MENHIR DE KERLESCLUM

     

     
     
    D'autres mégalithes sont à visiter dans la région : Saint-Rivoal, Brasparts, Lennon, Landeleau, Cleden Poher, et l'on peut trouver le long de la route des menhirs oubliés .
     

     

     

    une exploitation du granit

    collection personnelle

     

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    « Comment le mot "cassoulet" est devenu un buzz aux Etats-UnisMémoires des hommes 1914/1918 »

  • Commentaires

    1
    Mardi 14 Septembre 2010 à 15:39
    Denise-Pilou

    Tu nous en mets des belles choses intéressantes.

    Je n'irai pas mettre mon pied sous la pierre tremblante, des fois qu'elle en ai marre de trembler et ai décidé de tomber

    2
    Mardi 14 Septembre 2010 à 19:15
    papyserge ☞

    Denise

     

    c'est du coper/coller de vox

    elle ne rend pas aussi bien ici ! rien ne vaut les notes construite sur place

    en plus parfois les mots ce mélanges en  coper/coller ?? 

    bises @+ 

    3
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 20:48
    enelle

    dans 3 jours j'y serais !!

    4
    Mercredi 27 Octobre 2010 à 21:56
    papyserge  ☞..... ♫♪

    ah ben voila pourquoi le mauvais temps est revenue depuis deux jours ééhhéhéh

    je me demandais de qui tu parlais vu que j'étais encore sur les consultation par le net  

    fait gaffe on a toujours pas de gaz oil en bretgne !!! toujours ravitaillé par les corbeaux

    bises bonne soirée @+

     

    5
    V
    Jeudi 28 Octobre 2010 à 18:52
    V

    ok ok du monde vient d'arrive,,,,,, excellente note je repasserai avant de me coucher mais bises en attendant , curieuse de tout lire merci de cette belle note

    6
    Jeudi 28 Octobre 2010 à 20:19
    papyserge  ☞..... ♫♪

    ah c'est l'heure de l'apéro éhhéhé

    bises @+

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