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Le chantier du tramway abrite des tonnes de munitions
Il y a bientôt trois semaines, le Centre interdépartemental de déminage faisait une découverte des plus surprenantes sur le chantier du futur tramway. Celui-ci avait été immédiatement stoppé, car une intervention s'imposait. Depuis, plus de huit tonnes de munitions de la Seconde Guerre mondiale ont été ramassées. Et cela devrait se poursuivre jusqu'à la fin du mois d'août. Le reportage vidéo de Nathalie André.
Le dimanche 22 mars, au petit matin, environ 3.000 Brestois sont invités à quitter leur domicile, cette date ayant été retenue pour le déminage de l'engin explosif, découvert le 6 mars, au-dessus du port de commerce. Le reportage vidéo de Nathalie André.
Depuis le début de leur intervention sur le plateau des Capucins, un ancien site de l'Arsenal proche du centre-ville, les démineurs ont neutralisé trois obus et extrait quatre carcasses d'obus inertes.
Des déchets de ferraille au lieu d'obus
Durant la préparation de l'opération, les démineurs avaient détecté 83 échos métalliques pouvant être des obus, et 15 échos dont les formes étaient similaires à celles de bombes de la Seconde Guerre mondiale.
Mais lors des premières journées de recherches, les 2, 15 et 16 août, la plupart des "cibles" traitées se sont révélées être des déchets de ferraille. "Les périmètres de sécurité sont fixés par la loi et rien ne pouvait nous dire qu'on ne retrouverait pas de bombe de forte puissance ou d'obus", a expliqué dimanche Jean-Pierre Condemine, le sous-préfet de Brest, à l'issue de la seconde phase qui a entraîné l'évacuation d'environ 2.000 personnes pendant le week-end des 15 et 16 août.26 échos à traiter ce samedi
Les démineurs devront traiter les 26 derniers échos métalliques repérés sur le terrain. Les opérations pourraient se poursuivre dimanche, mais sans nécessiter d'évacuation.
Le plateau des Capucins doit être rétrocédé par la marine nationale à la ville de Brest qui prévoit d'aménager ce site de la Recouvrance, quartier historique de la cité portuaire. La loi oblige le propriétaire à dépolluer le site avant cession. L'opération sur le plateau des Capucins aura coûté au ministère de la Défense quelque 2,5 millions d'euros, financés dans le cadre du plan de relance, a indiqué le sous-préfet de Brest.Six tonnes de munitions ont été découvertes sur le terrain du terminal du futur tramway.Première mauvaise surprise dans une ville où l'on découvre des bombes à chaque coup de pelle.
« Quel chantier ! On en a jusqu'à la fin du mois d'août ! » Armés de râteaux et de pelles, sept démineurs de la Sécurité civile attaquent prudemment un énorme monceau de terre. Dedans, des balles et des obus. Du petit au très gros calibre : 20, 37, 75, 88, 90 et 105 mm. Des munitions allemandes.Sur ce vaste terrain en friche, à l'est de Brest, doit être implanté l'un des deux terminaux de la ligne du tramway. La mise en service est prévue avant l'été 2012. L'endroit comportait de nombreux bunkers construits par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale.
Un dépotoir
« Deux bunkers avaient un trou sur le sommet, percés probablement par une bombe, explique Sylvère Damour, le chef adjoint du centre de déminage de Brest. À la fin de la guerre, ils ont servi de dépotoirs pour les munitions non explosées trouvées dans le secteur. »
Soixante ans après, plus personne ne savait que les deux abris avaient servi de poubelles. Les entreprises de travaux publics ont démoli le toit des bunkers. Et vidé l'intérieur rempli de terre. Jusqu'à ce que des ouvriers aperçoivent, dans la terre, un objet suspect. Voilà quinze jours, les démineurs étaient appelés pour « un obus ».
Tout de suite, les spécialistes ont compris qu'ils avaient affaire à « un gros problème ». « Le tas de terre est truffé de munitions. En onze jours, on en a trouvé six tonnes. » Les démineurs travaillent comme des archéologues. Ils ratissent la terre. Ils ont l'oeil : les plus petites munitions ressemblent à des cailloux enrobés de terre.
Les démineurs ont tamisé les deux tiers du contenu d'un bunker. Ils en ont un deuxième à traiter. Les travaux ont été arrêtés, sans trop de conséquences pour l'instant. Les chantiers du futur tramway ne manquent pas ailleurs.
Brest est une ville qui fut, en France, l'une des plus bombardées durant la Seconde Guerre mondiale. Les bunkers, devenus dépotoirs d'explosifs, protégeaient la base des sous-marins allemands, cible privilégiée des bombardiers anglais et américains. À chaque grand chantier, Brest s'est habituée à la découverte de grosses bombes enfouies sous la terre. À chaque fois, il a fallu évacuer la population, le temps de neutraliser ces bombes. La mauvaise surprise des bunkers truffés de munitions n'est sans doute que la première de ce chantier de trois années.
Yannick GUÉRIN.A Brest, l'opération de déminage de la bombe américaine de la Seconde Guerre mondiale a débuté ce dimanche matin, à 9 h 30. Trois démineurs vont extraire la fusée de cet engin de 250 kg trouvée le 6 mars dans une rue d'accès au port de commerce, lors de travaux de réfection de l'éclairage urbain.
Brest Surrender 1944
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Commentaires
** tu as vu deux étoiles filantes ih ih !
Ih ih ih !!!! j'ai déjà mangé lol ! oté pas envie de ressortir le dictionnaire Breton et difficile de faire rentrer le langage Breton dans ma testa de blondinette eh bé ! déjà la Réunionnais je patauge dans..........le riz ih ih !!
Bonne nuit ** bisous. Merci de ta visite
FANY
surtout avec le vieillissement certain explosif deviennent instable , donc extrémement dangereux a manipuler !! beaucoup de bombes n'ont pas péter !! elles sont entrées dans le sol d'autre on était entassées en attendant ?? et puis on a oublié ,, c'est dingue non éhhé
toujours utile qu'a chaque qu'on creuse a Brest !! faut prévoir qu'on va decouvrir des explosifs
je suis passé chez toi traduite les mots breton !! j'ai eu pitié de toi éhhé
bisous bonne soirée @+
Je crois que maintenant, la terre est tellement remuée que c'est partout. Au Mans, côté de la grande place des Jacobins, ils détruisent un ancien théâtre pour en refaire un (entre autre,il est moche),ils ont trouvé des tas de munitions et obus. Sur l'aérodrome, là où j'habitais avant, ils ont creusé pour refaire la piste, il a fallu faire venir les démineurs
Bisous
trouvé des tas de munitions et obus
les démineurs en ont encore pour des années avant qu'on trouve tous les restes de bombes et de munitions des deux dernières guerres ! le pire ce sont les bombes chimique ! ils ne savent plus quoi en faire et avec le temps elles ce dégradent !!
bises bonne soirée @+
???????
OVNI nazis / La base secrète allemande en Antartique...
http://ufotopsecret.over-blog.com/pages/OVNI_nazis_La_base_secrete_allemande_en_Antartique-4190539.html
il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°. "C'est incroyable" vont penser certains d'entre vous mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des OVNIs.
Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d'un terrain d'expérimentation à Brandebourg. Le "chasseur VRIL I", disque volant équipé d'armes légères, volait à la fin de l'année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une "propulsion à lévitation Schumann" et un "pilotage par impulsion à champ magnétique". Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n'était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l'espace. On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d'un dôme de verre.
wouha, je ne serais pas tranquille si j'habitait à Brest. Tu t'endors et tu te retrouves dans les étoiles !!! C le bon Dieu qui serait etonne
je continue, mon clavier est passé en "qverty" d'un seul coup, y aurait-il une touche de racourci qui fait le basculement ?
je disais : c'est le bon Dieu qui serait étonné d'avoir des invités impromptus
Big bisous Papynou
Tu t'endors et tu te retrouves dans les étoiles
ça ferait des heureux ! en bas au chateau il y en plein qui attendent une promotion hééhh
bises @+
oh ! la belle casquette :4 étoiles " inspection générale , c'est quoi .. allez "déminer" moi çà , c'est un ordre, §§ c'est bizarre : Brest plein de bombes et d'obus de 40 .. pourquoi,dit-elle ? qu'est-ce qui che passé : la guerre : il y a eu comme une pluie de bombes , de sang ,de flammes sur ma ville martyrisée et dont, il ne restait plus rien que désolation et ruines ..mes parents et grands parents ont connu cela et >>exode vers le port de la lune / Landerneau city ! et au retour, bonjour Tristesse ! souviens-toi Barbara ...
..je viens de regarder : ..............
vidéos sur "Brest surrender 1944" ! émotions garanties sur la ville de ma famille et la mienne !
>>un seul mot , papyserge : MERCI
la casquette faut lire le com de denise pour comprendre !! elle parle des étoiles éhéh
avec ce qu'il y a eu de larguer comme bombe ! allier en plus Brest n'est pas prét d'étre débarrasser de ce fleau
je comprends ton émotion a la vue de cette vidéo !! moi qui ne suis pas brestois je suis impressionné par les dégats
bisous bonne nuit @+vieille photo de brest ! a voir
Brest diapo
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Dis-donc c'est impressionnant de voir tes photos et la grosseur de l'obus sur l'une de tes photos, ils sont courageux ces démineurs vraiment, en Lorraine aussi il y a des années j'avais entendu qu'il avait été retrouvé dans un champ je crois d'anciens obus de la Seconde Guerre, çà craint moi je préférerais trouver un coffre plein d'argent ih ih ih !!!!! que des obus. Merci de ton gentil passage : Degemer mat et merci pour le lien. Ah oui je me souviens à Lannilis dans un resto, j’avais entendu parler des anciens le Breton j’ai rien compris oté !
Nozvezh vat Serge et noz vad. Kenavo Serge LOL ! (ih ih ih !!!! mi cause la ar brezoneg).
Gros bisous