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Par papyserge le 8 Mai 2011 à 20:59close
Poul-Fetan, un village breton d'autrefois...
Ce petit village du XVIème siècle dont les maisons ont été restaurées constitue un exemple parfait d'architecture rurale ; ses toits de chaume, ses portes en ogives, ses escaliers extérieurs et ses cheminées massives sont caractéristiques des maisons bretonnes. Poul-Fetan trouve son origine dans la présence d'une source, " Poul " qui en Breton signifie lavoir et la source " Fetan " qui ont donné leur nom à ce village.
Au travers des siècles, le village abritait 4 à 5 familles. Habité jusqu'en 1970 , il fut ensuite acquis par la Commune de Quistinic, qui décida d'engager un vaste programme de restauration et de lancer par la suite le projet de sa mise en valeur touristique, avec le concours de bénévoles de la commune.
La restauration des bâtiments se déroula entre 1979 et 1992, et celle du terroir entre 1992 et 1994.
Outre son architecture rurale exceptionnelle, Poul-Fetan doit également aujourd'hui sa renommée, au concept de mise en scène, qui rend le Village très vivant et qui permet au visiteur de découvrir les gestes de la vie paysanne au XIX ème siècle.
Poul-Fetan se veut être un conservatoire des gestes et des traditions en centre Bretagne, dans un village rural.
Le visiteur pourra également découvrir au cœur de la vallée du Blavet, entre vallon et rivière, un terroir particulièrement bien préservé.
Petits et grands resteront également sous le charme des animaux de la ferme, à découvrir tout au long du parcours.*
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19 commentaires -
Par papyserge le 18 Mars 2011 à 17:40
je viens de recevoir un Email de yvette ! si ce n'était pas un spam
j'aurais dit qu'elle nous fait un coucou de la haut
ça nous permet a tous d'avoir une pensée pour cette coquine qui nous manque a tous
11 commentaires -
Par papyserge le 15 Février 2011 à 11:39
je suis triste , et je n'ai pas les mots pour exprimer ma peine
Yvette toi qui nous a fait tant rire , j'avais surtout envie qu'on ce souvienne de toi tel que tu l'étais
tout d'abord pour ceux qui n'ont pas accés a FB , je vous donne lecture des mess échangé avec freddy son mari
je n'ai pas de réponse a son accident et lui non plus
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Yvette a pris son dernier envol pour rejoindre d'autres amis ! surement qu'ils devaient manquer d'animation la haut
on n'oubliera pas sa belle et pétillante humeur de notre coté
bisous Yvette
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14 commentaires -
Par papyserge le 27 Novembre 2010 à 21:39pour ceux qui ont connu les premiers tél portable ou mobilea ceux de nos jours ça en fait du chemin parcouru et pourtant il n'y qu'un peu plus de 20ansAujourd'hui, si un mobile sans écran tactile, sans appareil photo numérique, sans lecteur mp3 et sans Internet a peu de chance de susciter le moindre intérêt, il y a quelques années, les choses étaient bien différentes. BusinessMobile.fr profite des 20 ans du mobile pour jeter un oeil vers le passé.
Radiocom 2000
Comment évoquer l'histoire du mobile sans parler du système Radiocom 2000 ? Issu de la recherche française, ce standard lancé en 1986 est le premier de la téléphonie mobile moderne, on parlera d'ailleurs de 1G. Les combinés (mais peut-on parler de combinés ?) sont fabriqués par Matra, Alcatel puis Sagem et sont dotés de batteries rechargeables au Nickel-Cadmium. Ils utilisent la bande des 400 Mhz.
La grande nouveauté est la notion de hand over : les fréquences sont attribuées au sein d'une "cellule", c'est à dire une zone géographique délimitée par la portée de l'émission radio. Lorsqu'un mobile sort de la zone de couverture radio, il peut accrocher sans coupure une autre cellule. D'où le nom de téléphone cellulaire. Mais il faut bien avouer que le système n'était pas au point, les coupures en déplacement étaient fréquentes.
Vu le volume de la bête, ces terminaux sont le plus souvent placés dans les voitures des utilisateurs.
En France, c'est France Télécom qui est le premier à proposer des abonnements pour ce service mais les prix prohibitifs (les appels reçus étaient facturés !) cantonnent Radiocom 2000 aux populations les plus aisées.
Par “mobile” comprenez tout de même qu’il s’agissait de téléphones radio embarqués dans des voitures, pas vraiment identiques à notre système GSM… Mais tout de même, pour l’époque il s’agissait d’une petite révolution pour le grand public ( fortuné).
Téléphonie mobile : 12 bons réflexes à adopter pour limiter son exposition
- Pas de téléphone mobile pour les moins de 15 ans. La croissance de leur organisme en développement les rend particulièrement vulnérables à tous les rayonnements électromagnétiques, ceux des mobiles inclus. Et plus l'exposition est précoce, plus les doses de rayonnement accumulées sont importantes. L'accès à un téléphone mobile doit être exceptionnel, en cas d'urgence par exemple.
- Il est officiellement recommandé de ne jamais approcher un téléphone mobile en fonctionnement du ventre d’une femme enceinte (l’eau du placenta et les cellules de l'embryon sont très sensibles à l'énergie dégagée par le portable) ou à moins de 20 cm de tout implant métallique, cardiaque ou autre, afin de limiter le risque d’interférence électromagnétique.
- Choisir et utiliser un téléphone mobile dont la valeur de DAS est la plus basse possible, de préférence toujours inférieure à 0,7 W/kg (cf. Top Das).
- Ne pas porter son téléphone à hauteur ou contre son cœur, l'aisselle ou la hanche, près des parties génitales. Tenir l'antenne du téléphone le plus éloigné possible de soi. Même lors de l'envoi d'un SMS.
- Toujours utiliser le kit piéton livré avec votre téléphone afin d’éloigner l'appareil de votre oreille (et de votre cerveau) le temps de la conversation. Préférer toujours l'oreillette « filaire » à tout autre gadget sans fil.
- Limiter le nombre et la durée de vos appels. Pas plus de 5 ou 6 appels par jour par exemple, ni plus de 2 ou 3 minutes pour chacun. Respecter un temps moyen de 1h30 entre chaque appel.
- Ne téléphoner que dans des conditions de réception maximum : dès que votre écran affiche les "4 barrettes" de réseau, pas moins. Pour chaque barre manquante, le rayonnement émis par le portable pour se connecter est multiplié par deux.
- Ne pas téléphoner en vous déplaçant, ni en train, ni en voiture, ni en bus, ni à pied, ni à cheval, ni en vélo, ni en bateau, ni en patinette, ni en roller, etc.
- Ne pas téléphoner en voiture, même à l'arrêt, ou dans tout autre infrastructure métallique. Un effet dit de "cage de Faraday" emprisonne et répercute les ondes émises par le portable, le rayonnement subi est alors maximum au centre de la "cage". Dans une voiture, cela se situe à la hauteur de votre tête.
- Eloigner le mobile de vous et le maintenir à la verticale le temps de joindre votre correspondant et tant que la première sonnerie n'a pas retenti. Souvent un bip ou un signal visuel vous indique que vous êtes en connexion avec le numéro appelé.
- Ne pas oublier : en public, vos voisins subissent le rayonnement émis par votre téléphone. S'éloigner permet d’éviter leur exposition passive.
- La nuit, ne jamais conserver un téléphone mobile allumé ou en recharge à moins de 50 cm de votre tête. Toujours l'éteindre pour limiter son rayonnement et celui de l'antenne relais avec laquelle il communique (riverains exposés 24h/24).
Source: – www.criirem.org
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Alexander Graham Bell obtient aux États-Unis un brevet d'invention pour le téléphone.
Il fut le premier le 14 février 1876 à déposer le brevet du téléphone. Le crédit de cette invention lui a cependant été retiré, la Chambre des représentants des États-Unis ayant statué en juin 2002 qu'Antonio Meucci était le véritable inventeur du téléphone : Bell lui en avait volé la paternité.
12 commentaires -
Par papyserge le 26 Septembre 2010 à 16:43
*les WC ou toilette ça na pas été toujours ça !!!
tien JP !!*
*a la compagne il yavait ça !!
*mais en ville avant le tout a l'égout c'était le pot de chambre **
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ça c'est une toupine, et dans laquelle on ne fait rien cuire.
Et oui, c'est un vase de nuit, l'équivalent du pot de chambre de votre enfance.
Ce qui a beaucoup marquée , c'était le mode de collectage des dites toupines.
Il faut se souvenir que jusqu'au milieu des années 50 du siècle dernier, peu de ville française possédaient de système de tout à l'égout. Alors!!!
...Le Torpilleur.
Je vous laisse imaginer le détail des opérations.
Ainsi que la saveur, j'allais dire le fumet, des anecdotes racontées par les anciens.
Les disputes entre les femmes et les sergents de ville chargées de faire respecter les heures de dépots des toupines et l'interdiction de les laver aux fontaines.La nuit, il fallait être très prudent en circulant dans les rues sombre. Un certain nombre de nos concitoyens ayant pris l'habitude de vider leurs toupines par les fenêtres.
Oh, ils prévenaient d'un vigoureux: "Passa ren?"
Seulement, souvent l'avertissement arrivait en même temps que giclait sur le pavé le contenu de la toupine.Allez, je me replonge dans ma daube de poupre.
Bon appétit.
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Le Torpilleur des rues 29-08-2007 HistoireC'étaient des véhicules différents qui se chargeaient d'enlever le contenu des unes et des autres. Ils ne circulaient pas aux mêmes heures et les toupines devaient être sorties peu avant le passage du torpilleur, au petit matin.
Le ramassage des ordures ménagères s'effectuait au moyen d'un tombereau tiré par un cheval et le préposé, nanti d'une énorme pelle plate et d'un balai de bruyère, devait vider les poubelles et enlever les petits tas d'ordures accumulés par les balayeurs de rue bien avant son passage.
Le torpilleur, véhicule hippomobile au XIXe siècle, devint un engin motorisé dans les quelques années qui précédèrent la mise en service de l'Émissaire commun.
Mais pourquoi l'appelait-on ainsi ? Probablement parce qu'on le fuyait comme un navire aurait fui face à la menace d'une torpille. La puanteur que répandait ce véhicule constituait une telle agression qu'on le considérait comme un danger redoutable, surtout quand il venait à la rencontre d'un piéton. Ce dernier n'avait d'autre recours que de tourner les talons, en pressant son mouchoir sur ses narines. On disait alors : " Attention, ça torpille ! "
Il arriva que pour éviter cette mauvaise rencontre, des travailleurs ratent le départ du bateau ou du tramway qui les conduisait à leur atelier ou à leur bureau. On voit donc que ce maudit véhicule avait dans la vie quotidienne des répercussions multiples et fort désagréables.
- Vous attendrez demain !
- Mais j'en ai qu'une, de toupine !
- Allez la vider vous-même chez Gamel !
Pour la petite histoire, il faut savoir que les Gamel étaient des éleveurs de cochons établis au quartier Saint-Jean. Propriétaires de vastes terrains entre la route d'Ollioules et l'Hôpital, ils recevaient la vidange que l'on y épandait. Les émanations qui se mêlaient à celles des porcheries n'avaient pas fait de ce quartier un endroit où l'on flâne. Nos concitoyens avaient donc fait leur l'expression : Sènté Gamèou (ça sent Gamel) énoncée chaque fois qu'une odeur nauséabonde parvenait à leurs narines.
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Le passage du torpilleur dans la rue était l'occasion de scènes souvent désopilantes, sauf pour celui qui en était la victime.
Le tonneau de vidange, monté sur deux roues, avait une contenance de cinq cents litres environ. Il était coiffé d'un entonnoir volumineux, par lequel le préposé versait le contenu d'un gros seau rempli lui-même par l'apport de plusieurs toupines. Les mêmes gestes répétés des centaines de fois, exigeaient des efforts physiques assez considérables.
Tous ces transferts de liquides ne pouvaient s'effectuer sans éclaboussures, surtout lorsque le mistral s'engouffrait dans nos rues. On comprend pourquoi les passants avaient intérêt à s'écarter de ce véhicule pendant que le préposé municipal effectuait ses manipulations.
Ce dernier, malgré l'adresse dont il pouvait faire preuve, mettait ses vêtements dans un état lamentable. Son pantalon en velours qui tombait en accordéon sur ses chaussures, son veston boutonné jusqu'au cou, son chapeau de feutre noir, présentaient un aspect peu ragoûtant.
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Et quand le gros tonneau que l'on appelait la boute (du Provençal bouta : tonneau) s'ébranlait sur les pavés disjoints, bringuebalant de droite et de gauche, des giclées du trop-plein s'échappaient par l'entonnoir pour venir s'écraser sur la chaussée en de redoutables flic-flac.
Si le cheval n'avait pas su éviter les trous profonds, le vidangeur furieux l'accablait d'injures retentissantes.
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Et puis nos braves ménagères, les yeux encore gonflés de sommeil, venaient récupérer leur récipient. On assistait alors à d'autres scènes de la rue que nos grand-mères nous ont toujours contées avec des houles de rire.
Ces dames s'approchaient délicatement de la toupine, en regardant bien où poser leurs pieds, tenant les pans de leur peignoir d'une main, alors que de l'autre, elles brandissaient l'escoubette, petit balai terminé par un hérisson de chiendent. Celles qui demeuraient à proximité d'une fontaine, y rinçaient leur toupine sans difficulté. Dans les rues les plus longues, où n'existait qu'un seul point d'eau à une extrémité, les ménagères qui en étaient le plus éloignées apportaient l'eau de rinçage de l'intérieur. Après avoir consciencieusement nettoyé le récipient, elles le vidaient dans le ruisseau où stagnait le liquide pendant plusieurs jours, surtout si la sécheresse sévissait. On imagine, dans ces conditions, ce que sentaient nos rues et les dangers d'infection que représentaient ces liquides croupissant dans les interstices des pavés !
Sources : Marius Autran 2006
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http://maprovence.skynetblogs.be/post/4914373/le-torpilleur-des-rues*
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