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Saint-Malo
http://www.annuaire-emeraude.com/tourisme/saint-malo3.html#
Le Château, flanqué de quatre grosses tours, que surplombe un haut donjon, date de 1421. Il ressemble assez à un un gigantesque carrosse de pierre : “le carrosse de la Duchesse Anne”, dit la tradition populaire.La grosse tour d’angle, près de la Porte Saint-Thomas, porte le nom de “Quic-en -Groigne”. Les Malouins étaient mécontents de la construction de cette forteresse mais la bonne Duchesse passa outre et s’écria : “Quic-en-Groigne, ainsi sera, tel est mon bon plaisir !”. Les trois autres se nomment la Générale, la Tour des Dames et la Tour du Moulin.
La petite tour ronde qui domine la plage est le Vieux Donjon et date de Charles VI ; c’est la partie la plus vieille du Château. La double muraille qui renforce la citadelle du côté du Sillon, et s’avance en pointe s’appelle “la Galère”.
A marée basse, descendre sur la plage de Bonsecours.
Une jetée mène au Grand Bé sur lequel on grimpe par un escalier taillé dans le roc. Face à la mer, à l’extrémité de l’îlot, au-dessus du chaos de superbes rochers, se dresse le Tombeau de Chateaubriand (1768-1848), auteur du “Génie du Christianisme” et des “Mémoires d’Outre-Tombe”. C’est le tombeau de France qui, chaque année, reçoit le plus de visiteurs. Ne quittez pas le célèbre îlot sans admirer, dans cet imposant décor, la vue splendide qui se déroule à vos pieds.
Des forts bâtis sur les rochers parsèment la rade : “l’île Harbour” (en direction de Dinard), “la Conchée” (à droite en regardant du côté de Paramé), “l’île Cézembre” (en face), “le Petit Bé” (le plus proche voisin du Grand Bé). Allez jusque là pour achever votre visite.
Le Pavillon Corsaire
e visiteur arrivant à Saint-Malo est frappé de voir flotter au sommet du donjon du château le Pavillon Malouin. Fierté des habitants de la Cité Corsaire, symbole de leur esprit d’indépendance, c’est le pavillon qu’arboraient les navires de Course. Il remonte au XVIè siècle bien qu’ayant subi un certain nombre de modifications pour arriver au modèle constituant actuellement le “Drapeau Municipal”.
Le Drapeau Breton
Dessiné par Morvan Marchal, on l’appelle également “Gwenn ha Du” (Blanc et Noir). Il est composé de 9 bandes. Les 5 bandes noires représentent les anciens Evêchés (ou Pays gallos) de Haute-Bretagne : Dolois, Malouin Nantais, Rennais et Penthièvre. Les 4 bandes blanches représentent les anciens Evêchés (ou Pays bretonnants) de Basse-Bretagne : Cornouaille, Léon, Trégor, Vannetais.
Les 11 hermines représentent le symbole du Duché de Bretagne
Les Armoiries de Saint-Malo
Les plus anciennes armoiries étaient “d’argent à un dogue de gueules” avec pour devise “Cave Canem”. En 1615, le blason de la ville porta “de gueules à une herse d’or mouvant de la pointe de l’Ecu surmontée d’une hermine passante d’argent bouclée d’or et lampassée de sables”. L’écu, sommé d’une couronne murale à cinq crénaux d’or avec pour devise “Semper Fidelis”. Deux dogues entourent le blason. La Croix de la Légion d’Honneur et la Croix de Guerre complètent les armoiries.
Chevalier de la mer. Ni Pirate ni flibustier. Corsaire suis !Dans l’esprit de beaucoup, ces termes sont employés l’un pour l’autre et sont considérés comme des synonymes. Or la réalité est bien différente :
Les Pirates aventuriers qui courent les mers pour se livrer au brigandage sont carrément des bandits de grand chemin, n’ayant qu’une idée : piller, voler et éventuellement tuer.
Les Flibustiers représentent, d’une certaine manière, le niveau intermédiaire entre Pirates et Corsaires. Ils obéissent à certaines règles qui leurs sont propres, mais sans reconnaître aucune autorité légale. Excellents marins, ils opèrent essentiellement dans la zone des Antilles.
Les Corsaires sont des marins de métier. En temps de guerre, ils reçoivent pour une certaine période des Lettres de Marque leur donnant le droit de capturer, sur ordre de leur Souverain, les vaisseaux de commerce ennemis, de vendre des marchandises prises et de garder une partie importante du bénéfice. Les plus célèbres Corsaires Malouins furent Duguay-Trouin et Surcouf.
Les Chiens du Guet
A partir de l’année 1155, Saint-Malo entretint une meute de 24 dogues, “Les Chiens du Guet” comme on les appelait. Ils n’étaient pas destinés à la défense de la ville mais à chasser les maraudeurs qui voulaient s’emparer des marchandises entassées dans les navires.
Des “chiennetiers” étaient affectés à l’entretien et à la conduite de ces féroces animaux. Le soir, à 10 heures, à la fermeture des portes de la Cité, annoncée par la cloche “Noguette” sonnant le couvre-feu, ils étaient lâchés et n’étaient rappelés qu’une heure avant le lever du jour au son d’une trompette de cuivre. Ils étaient alors enfermés dans leur chenil dans une ruelle réunissant la rue Saint-Thomas à la rue Garangeau “la Venelle aux Chiens”. Plus tard, ils furent hébergés dans une niche sous le bastion de la Hollande à proximité de la Porte Saint-Pierre ; elle est d’ailleurs toujours visible derrière les grilles qui la fermaient.La Digue de Saint-Malo va du quartier de Rocabey à celui de Rochebonne. Elle fût mise en chantier en 1853. Auparavant c'était trente hectares de dunes bordant la Grande Grève.
La première villa y fût transportée de toutes pièces : il s'agissait d'un pavillon offert par les Indes au Prince de Galles pour l'Exposition Universelle de Paris. C'était en 1873 et il fût détruit en 1925. Un banquier du nom de Hébert constitua avec trois journalistes du Figaro une société qui s'employa a lotir tout le front de mer. La Digue, dont le rôle était (et est) de retenir et soutenir le sable que la marée emportait fût achevée en 1880. Le Grand Hôtel et le Casino de Paramé furent construits vers 1883. A cet emplacement on trouve aujourd'hui les fameux Thermes Marins.
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Fort de l'île Harbour (Isle-Erbou)
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*“la Conchée”
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, le Petit Bé véritable navire de guerre à l’ancre, ce fort Vauban XVII° jouit d’une position exceptionnelle au coeur de la baie de Saint-Malo
http://www.carphaz.com/album_accueil/accueil_sm.php
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*http://www.carphaz.com/album_defense/national.ph
Fort National (Islet)
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http://armorance.free.fr/st-malo0.htm
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Saint-Malo, son histoire ...
L'origine de Saint-Malo remonte au 6ème siècle, comme beaucoup de villes ou villages de la région.
Son fondateur, Mac Law, d'origine galloise, faisant oeuvre d'évangélisation, s'installa dans le pays d'Aleth. Controversé par une partie de la population, il s'exila en Saintonge où il mourut en 627. Mais la ville de Saint-Malo n'existait toujours pas à cette époque : rocher isolé à côté de la cité, il en devint petit à petit le refuge à la suite des invasions des Francs puis des Vikings.
Au cours de son histoire, la cité corsaire vit son aspect se modifier considérablement.
C'est au 12ème siècle qu'elle devint Saint-Malo-en-l'Isle et qu'elle commença son développement.
Cette ville reflète parfaitement l'esprit malouin : indépendant et valeureux. Cette volonté d'indépendance l'a engagée au cours des siècles dans de nombreuses batailles, y compris contre les rois de France ... pour devenir par la suite un de leurs meilleurs serviteurs.
Nombre de grands hommes y ont fait l'histoire et la renommée du pays : Cartier, Duguay-Trouin, Maupertuis, Lamennais, etc. Ils sont tous présents, autour de la vieille ville : ils y ont tous leur statue. Elle rappelle au visiteur qu'il foule un sol illustre ...Ceux dont le nom revient le plus souvent sur les lèvres représentent les deux extrêmes de l'âme malouine : Surcouf, valeureux corsaire qui a donné son surnom à la ville et Chateaubriand, le poète qui en écrivit les plus belles pages. Né selon la légende (#) sur l'île du Grand Bé, il y repose, face à la mer.
Successivement forteresse puis cité de commerce maritime et de grande pêche, la ville fut presque entièrement détruite ... par l'armée américaine en août 1944 afin d'en déloger une garnison allemande.
Elle a été reconstruite presque à l'identique et offre ainsi, comme par le passé pour les visiteurs venant du large, cette réelle impression d'être la "forteresse de la mer".
Vous ne quitterez pas le pays malouin sans avoir envie d'y revenir !
La découverte de la ville offre de multiples émotions. Commencez donc par la première alliée de la cité corsaire,
celle qui lui a valu le surnom de forteresse de la mer : sa défense côtière.
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Sous les remparts, la mer ...
Protégé des tempêtes par le môle des Noires (ainsi nommé car c'est de cet endroit que les femmes des marins guettaient le retour des Terre-Neuvas) et gardé par les Forts de Harbour et de la Conchée, le port de Saint-Malo était pratiquemment inaccessible pour ses assaillants. Le Fort du Petit Bé n'a quant à lui jamais été achevé : ni pont-levis ni chaussée ou chemin n'en permettent l'accès ... L'île sur laquelle il a été édifié a servi dans le passé comme avant-port. Les vestiges de l'ancienne cale et la chaussée qui la reliait au Grand Bé sont encore visibles mais chaque tempête grignote un peu plus de ses pierres.
Les nombreux rochers qui affleurent dans la rade étaient autant de pièges ... et à marée basse les bateaux s'échouaient sur les bancs de sable.
Ici, le voilier Hilda qui s'est fracassé sur les "Portes" en 1905 ...
Si la marée le permet, traversez la plage de Bon-Secours par la chaussée qui conduit au pied du sentier qui vous mènera au sommet de l'île qui lui fait face :
Le tombeau de
Chateaubriand
Face à la mer, sur l'île du Grand Bé, le plus illustre des écrivains bretons repose.
L'île n'est accessible qu'à marée basse !
En retrait du Grand Bé, plus au large, le Petit Bé et son fort abandonné vont bientôt changer de destination. Ouvert à tous les vents et réduit à l'état de carcasse, le fort a été loué en décembre 1999 par la ville de Saint-Malo pour une durée de 40 ans à un "sauveteur" de vieilles pierres. L'expérience du Fort National dont la restauration avait déjà été confiée dans les mêmes conditions va donc se renouveller et l'édifice va retrouver une nouvelle jeunesse. Revers de la médaille, sa visite jusqu'alors gratuite (quoique périlleuse et peu intéressante jusqu'en 2001) deviendra payante : de fort il deviendra musée, racontant son histoire et celle des ouvrages de défense de la côte bretonne. Cinq années de travaux seront nécessaires. Après ceux-ci, les visites du site seront guidées et pour pallier aux aléas des marées (l'île n'est accessible à pied qu'aux fortes marées basses), il sera organisé une navette par bateau.
Eté 2001 : un escalier de bois a été construit au pied du fort. Il est désormais accessible, à marée basse uniquement, moyennant péage, même s'il ne présente encore qu'un intérêt limité ...
Devant les hautes murailles des remparts d'autres récifs couverts à marée haute protégeaient la ville :
Côté plage, à l'Est, le Fort National complétera la défense à partir de 1689. Construit par Garangeau, selon une architecture "à la Vauban", en granit de Chausey afin de protéger la côte des attaques anglaises, il subira un assaut dès 1693. La seconde enceinte qui le protège sera édifiée au début du 19ème siècle.
Du Fort National aux limites de Rothéneuf s'étend la plus longue des plages de Bretagne du Nord : nommée tout simplement la "Grande Plage", elle est un paradis pour les amateurs de bains de mer et de bronzette.
Le soir, lorsqu'elle est désertée par les adeptes d'Eole et de Râ, elle devient un lieu de promenade très fréquenté.
La digue qui la borde, Le Sillon devenant plus loin Digue de Rochebonne, est également le lien pédestre qui relie Saint-Malo à la station balnéaire de Paramé.
Mais revenez vers l'enceinte de la ville et, entrant par la porte Saint-Thomas, vous grimperez les escaliers menant au chemin de ronde : vous arrivez là sur les remparts.
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Sur les remparts de Saint-Malo
Tout visiteur de Saint-Malo se doit d'en faire le tour par les anciens remparts.
L'édification de ceux-ci a commencé en 1144, sous l'impulsion de l'évêché d'Aleth transférant ses assises sur le rocher, la configuration du lieu permettant une meilleure défense. L'histoire attribue toutefois l'essentiel de sa construction au 13ème et 14ème siècle.
Qu'il s'agisse des tours de guet qui dominent ceux-ci, autour et sur le château, ou du chemin de ronde qu'empruntaient les sentinelles, chaque détour offre une vision impressionnante de la ville et de la forteresse !
Les remparts furent restaurés au 15ème et 16ème siècle et divers ouvrages fortifiés y furent ajoutés au 17ème siècle, après qu'un incendie eut ravagé la ville en 1661. 8 Portes et 2 poternes en permettent l'accès : la Porte de Dinan venant de la cale, la Porte Saint-Louis face au bassin Vauban, la Grande Porte, monumentale, entourée de 2 tours imposantes, édifiée en 1582 et menant droit à la cathédrale, la Porte Saint-Vincent située au pied du château et la Porte Saint-Thomas ouvrant sur la plage de Paramé. Ces dernières sont plus récentes, datant respectivement de 1709 et 1737. Plus petites et faisant face à la mer, la Porte des Champs Vauvert, des Bés et Saint-Pierre s'ouvrent au pied des Petits Murs, partie la plus ancienne des remparts (12ème siècle). La poterne d'Estrées et celle Aux Normands ouvrent au Nord et à l'Ouest.
Côté Sud, à l'abri des vents :
les bassins à flot, où un va-et-vient incessant et coloré de grands voiliers, de bateaux et de cargos anime les quais où les badauds se bousculent afin des les voir de plus près.
Lors des années fastes, comme en 1999 la "Cutty Sark" et en 2006 la "Tall Ship's Race", ils accueillent un nombre impressionnant des plus beaux voiliers du monde.
La ville s'anime alors pendant plusieurs jours au son des orchestres accompagnés des défilés de marins et de matelots venant du monde entier.
La fête battra son plein, se terminant en apothéose par un feu d'artifice annonçant pour le lendemain la grande parade des bateaux quittant la rade de Saint-Malo pour cingler vers le large.
Au début du siècle, bisquines, gabares, chalands et Terre-Neuvas s'y croisaient. Vinrent ensuite les bateaux à moteur qui, petit à petit, sonnèrent le glas de la disparition des premiers ...
La vedette reliant Dinard à Saint-Malo amenait son flot de touristes mais aussi d'ouvriers et artisans : le barrage de la Rance n'existait pas encore et le bateau était le seul moyen de passer d'une ville à l'autre.
Une de ces anciennes vedettes n'en finit pas de mourir au cimetière de bateaux de Quelmer ...
Ce moyen de transport est toujours utilisé car il est le plus rapide pour effectuer la liaison erntre les deux villes.
A l'intérieur des murs, les imposantes maisons d'armateurs entourent la haute stature de la cathédrale Saint-Vincent.
Son édification date du 12ème siècle mais elle fut très endommagée en 1944. De son origine subsistent une nef imposante de style angevin, un choeur gothique et le cloître, patiemment restaurés.
La flèche effilée qui la coiffe a été reconstruite en 1972 mais n'est plus telle que les anciens la connurent avant sa destruction.
En dehors de la traditionnelle promenade sur les remparts
de la vieille ville, faites-en le tour par le bas, côté plage.
Vous y découvrirez les différentes portes du guet,
non visibles de là-haut.
De plus, les tours crenelées prennent alors une autre
dimension. Le soir venu, les couleurs chaudes du
coucher du soleil lècheront les murs, semblant parfois
mettre le feu à la cité.
Ce sera le moment venu pour entrer dans la ville ...
Saint-Malo, intra-muros
La vieille ville a beaucoup souffert au cours des ans. C'est toutefois lors du dernier conflit mondial que ses blessures ont été les plus profondes : 80 % des bâtiments furent rasés par les bombardements et l'incendie qui suivit ...
Certains endroits, le plus souvent méconnus des touristes, rappellent encore son passé.
Quelques vieux murs
cotoient les édifices
reconstruits, rares
témoins épargnés
d'une destruction
presque totale.
Au détour d'une de ses nombreuses ruelles
vous trouverez sans doute, dans un endroit
très peu fréquenté, la maison de la Duchesse Anne,
caractérisée par sa tour effilée.
L'ensemble comprenant l'ancienne habitation
avec le seul encorbellement à pans de bois
existant intra-muros est niché au fond d'une
courette, parfaitement restauré.
En passant d'un quartier à l'autre, vous aboutirez tantôt devant une petite église, tantôt devant une maison au cachet pittoresque.
Le calme des anciens quartiers épargnés par la cohue des touristes en mal de souvenirs tranche avec l'animation des rues commerçantes.
Parfois entouré de hauts murs,
comme ici, vous aurez l'impression
que chacune des pierres de la cité
a une histoire à raconter ...
Partez à leur recherche ! Entrez plus avant dans la ville et, contrairement à l'habitude des touristes qui circulent dans les rues commerçantes, foulez plutôt les vieux pavés et pénétrez l'intimité des ruelles ! Vous y ferez des découvertes étonnantes : vieilles pierres, gargouilles tantôt grimaçantes, tantôt riantes, porches ornés d'anciennes pièces de granit parfois sculptées, portes anciennes et parfois monumentales telles cette porte en chêne datant du 16ème siècle !
Leur origine est souvent incertaine car leur histoire se perd dans la nuit des temps. La patine qui les couvre vous le dira peut-être, si vous la caressez ...
Et quand viendra la fin de jour, vous envisagerez déjà d'y revenir ...
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