• Avec grande satisfaction,nous vous informons qu’est disponible dans les librairies

    le premier tome du "manuel pour comprendre les femmes "

     

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    Chute d'une météorite en Bretagne ! 19 juillet 2011

    Le phénomène, survenu mardi matin vers 5h20, est confirmé par de nombreux témoins dans toute la Bretagne. Il pourrait s'agir d'une météorite qui s'est désintégrée à basse altitude.

     

    La météorite démasquée par la vidéosurveillance !

     


     

     

    *

    Où est tombée la météorite ? À Néant…

     

    La météorite venue du néant qui a explosé au-dessus de la Bretagne se serait écrasée dans sa commune. À Néant-sur-Yvel, aux portes de la forêt légendaire de Brocéliande.

    + Voir aussi : notre vidéo sur le sujet et la carte des témoignages recueillis par Ouest-France

    « C’est un don du ciel, mais il ne va pas être facile à trouver… » La semaine dernière, Philippe Louapre a reçu la visite du directeur de l’Espace des sciences de Rennes, Michel Cabaret. Il lui a appris que la météorite qui a explosé au-dessus de la Bretagne, le 19 juillet, aurait atterri dans sa commune, à Néant-sur-Yvel et que, plus ancienne que le soleil, son étude serait très intéressante pour les scientifiques.

    Une pierre noire et brillante

    « J’ai été surpris par la précision de leurs calculs. Grâce à une vidéo, ils savent qu’elle serait entrée par Paimpont et qu’elle se serait écrasée dans un rayon de quatre à cinq kilomètres du bourg de Néant. » Oui mais voilà, que peut faire notre maire et son petit millier d’administrés… La chercher ? « Ce n’est plus chercher une aiguille dans une botte de foin, c’est la chercher dans un camion de foin ! » La commune fait 32 km2. Soit 3 200 hectares, avis aux amateurs de chasse au trésor…

    Notre maire se contentera de sensibiliser les agriculteurs, qui s’apprêtent à couper les maïs, les chasseurs et les cueilleurs de champignons pour qu’ils ouvrent l’œil. « C’est une pierre noire et brillante grosse comme une balle de tennis, voire comme un ballon, qui pourrait s’être fragmenté en trois à quatre morceaux. Et son impact a pu former un cratère. »

    Une terre de légendes

    Des cailloux, il en a déjà reçus à son bar restaurant qu’il tient au cœur du bourg. « Des blagues de clients… », sourit-il. C’est que cette météorite qui vient du néant et qui a atterri à Néant, ça fait causer ici. « Néant signifiait ciel, paradis en breton, d’ailleurs, le village de Ker Neant est celui le plus élevé de la commune, le plus proche du ciel. » Un nom qui n’a pas toujours été pratique pour le courrier. Pendant la Seconde guerre mondiale, lassés de voir le courrier estampillé « Néant » détruit, les Allemands ont ajouté le suffixe sur-Yvel.

    Et l’Yvel, qui coule ici, traverse une forêt habituée aux phénomènes surnaturels dont Néant est l’une des portes, la forêt de Brocéliande qui abrite la fontaine de Barenton. La légende raconte que si l’on jette de l’eau sur son perron, le ciel nous tombe sur la tête. Quelqu’un a dû y jeter un caillou

    « Néant-sur-Yvel terre de légende », prévient un panneau à l’entrée de la commune. La météorite pourrait bien en apporter une de plus au pays de Merlin l’enchanteur.

     

                                                                                         http://i40.servimg.com/u/f40/16/70/23/53/nwa42910.jpg

     

                                                                                     http://www.toujourspret.com/techniques/expression/veillee/contes/merlin.jpg


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    Chute d'une météorite en Bretagne ! 19 juillet 2011

    Le phénomène, survenu mardi matin vers 5h20, est confirmé par de nombreux témoins dans toute la Bretagne. Il pourrait s'agir d'une météorite qui s'est désintégrée à basse altitude.

     

    La météorite démasquée par la vidéosurveillance !

     


     

     

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    Où est tombée la météorite ? À Néant…

     

    La météorite venue du néant qui a explosé au-dessus de la Bretagne se serait écrasée dans sa commune. À Néant-sur-Yvel, aux portes de la forêt légendaire de Brocéliande.

    + Voir aussi : notre vidéo sur le sujet et la carte des témoignages recueillis par Ouest-France

    « C’est un don du ciel, mais il ne va pas être facile à trouver… » La semaine dernière, Philippe Louapre a reçu la visite du directeur de l’Espace des sciences de Rennes, Michel Cabaret. Il lui a appris que la météorite qui a explosé au-dessus de la Bretagne, le 19 juillet, aurait atterri dans sa commune, à Néant-sur-Yvel et que, plus ancienne que le soleil, son étude serait très intéressante pour les scientifiques.

    Une pierre noire et brillante

    « J’ai été surpris par la précision de leurs calculs. Grâce à une vidéo, ils savent qu’elle serait entrée par Paimpont et qu’elle se serait écrasée dans un rayon de quatre à cinq kilomètres du bourg de Néant. » Oui mais voilà, que peut faire notre maire et son petit millier d’administrés… La chercher ? « Ce n’est plus chercher une aiguille dans une botte de foin, c’est la chercher dans un camion de foin ! » La commune fait 32 km2. Soit 3 200 hectares, avis aux amateurs de chasse au trésor…

    Notre maire se contentera de sensibiliser les agriculteurs, qui s’apprêtent à couper les maïs, les chasseurs et les cueilleurs de champignons pour qu’ils ouvrent l’œil. « C’est une pierre noire et brillante grosse comme une balle de tennis, voire comme un ballon, qui pourrait s’être fragmenté en trois à quatre morceaux. Et son impact a pu former un cratère. »

    Une terre de légendes

    Des cailloux, il en a déjà reçus à son bar restaurant qu’il tient au cœur du bourg. « Des blagues de clients… », sourit-il. C’est que cette météorite qui vient du néant et qui a atterri à Néant, ça fait causer ici. « Néant signifiait ciel, paradis en breton, d’ailleurs, le village de Ker Neant est celui le plus élevé de la commune, le plus proche du ciel. » Un nom qui n’a pas toujours été pratique pour le courrier. Pendant la Seconde guerre mondiale, lassés de voir le courrier estampillé « Néant » détruit, les Allemands ont ajouté le suffixe sur-Yvel.

    Et l’Yvel, qui coule ici, traverse une forêt habituée aux phénomènes surnaturels dont Néant est l’une des portes, la forêt de Brocéliande qui abrite la fontaine de Barenton. La légende raconte que si l’on jette de l’eau sur son perron, le ciel nous tombe sur la tête. Quelqu’un a dû y jeter un caillou

    « Néant-sur-Yvel terre de légende », prévient un panneau à l’entrée de la commune. La météorite pourrait bien en apporter une de plus au pays de Merlin l’enchanteur.

     

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    Grand prix du court metrage breton de l'amicale de rueil malmaison

    .La gare de Pontrieux. Le train à vapeur du Trieux .modelisme ferroviaire faucheuse à chevaux javelle locomobile batteuse bâton à bouillie eculasse corvée de buée coiffe vannier barattage du beurre

     

     

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    *XVIIIe : Les églises chassent les morts

    Dès le début du XVIII e siècle, la Bretagne se préoccupe de questions d'hygiène, en interdisant les sépultures dans les églises, puis, plus tard, en transférant les cimetières hors des agglomérations. En avance de plusieurs décennies sur l'ensemble du royaume de France.

    L'inhumation dans les églises remonte au haut Moyen Âge. Réservée, à l'origine, au haut clergé, elle fut ensuite accordée aux nobles, fondateurs de l'église. Puis des paroissiens, bienfaiteurs de l'église, obtiennent la possibilité d'avoir une tombe familiale. La sépulture dans l'église, en Bretagne, progressa dans la première moitié du XVIIe siècle. Bientôt on constata l'accumulation de cadavres dans un espace limité. À Landuvez, quatre-vingt deux tombes étaient dans l'église. On construisit alors des ossuaires dans les enclos paroissiaux pour recueillir les ossements ; et quand ils furent remplis, on transféra les restes dans une fosse au cimetière. Mais la tradition restait d'ensevelir les nouveaux cadavres dans l'église. La sépulture au cimetière entourant l'église paroissiale était gratuite. Là aussi, on recherchait les meilleures places, se situant contre l'église et près de la croix, présence obligatoire au milieu du champ des morts.

    Les évêchés interviennent

    En 1710, le diocèse de Quimper prescrit : « Nous voulons que l'on accorde gratuitement la sépulture dans les cimetières ; et conformément aux arrêts du Parlement, nous défendons à tous recteurs, curés et prêtres d'inhumer aucune personne dans les églises, à la réserve de ceux qui y ont leur enfeu ». Le diocèse de Saint-Brieuc, en 1723, va dans le même sens : les recteurs « porteront leurs paroissiens à se soumettre aux arrêts qui ordonnent que les enterrements se fassent dans les cimetières et les y engageront encore plus par leur exemple que par leurs paroles, en choisissant eux-mêmes leur sépulture dans les cimetières ». Les cimetières étaient une place publique, un lieu où se rejoignaient le profane et le sacré, avec interdiction « que les merciers soient dans les cimetières, qu'on y expose ou vende des fruits ou marchandises, qu'on y mette aucun meuble profane, que l'on y tienne des audiences, que l'on étende dans les cimetières des linges pour sécher et qu'on y sème aucun grain ». (Quimper 1710).

    Les arrêts du Parlement de Bretagne

    Dès le XVIIe siècle, le Parlement de Bretagne intervient. Le 19 août 1689, il s'inquiète : « La plupart des fidèles sont portés à désirer être inhumés dans les églises et au lieu de contribuer à les entretenir et orner, ils les rendent non seulement malpropres, mais ils en ruinent le pavé d'une telle sorte qu'il en coûte beaucoup pour le réparer ». L'argumentation en faveur de l'enterrement au cimetière est matérielle : le dallage dans l'église est sans cesse démonté et remis inégalement. Le recteur d'Audierne, lors d'un sermon le 10 mars 1658, avait regretté le « défaut d'aplanissement des pierres tombales ». Par contre, l'arrêt daté du 16 août 1719, qui interdit l'enterrement dans les églises, s'appuie sur des arguments nouveaux : « Les maladies contagieuses qui sont dans cette ville (Rennes) font tous les jours mourir quantité de personnes qu'on enterre dans les églises ; ce qui peut augmenter la contagion, le remuement des terres infectées par les corps-morts répandant une exhalaison très dangereuse ». Le Parlement de Bretagne était en avance dans la lutte contre les épidémies, par rapport au Parlement de Paris, qui commanda une enquête aux médecins à ce sujet en 1737, et au Parlement de Toulouse qui rendit un arrêt le 3 septembre 1774 contre la pratique des enterrements dans les églises. Un arrêt de Parlement de Bretagne du 2 octobre 1741 rappelle l'interdiction d'inhumer dans les églises et les chapelles, au moment où une épidémie de dysenterie provoque quatre-vingt mille décès dans la province.

    Contre les odeurs : résine, soufre et chaux

    En 1738, le recteur René Calloc'h, de Gouézec, se plaignait des « inhumations à une si petite profondeur, en se servant pour pierre tombale de dalles d'ardoise, d'une faible épaisseur, si bien que les exhalaisons mortelles se répandaient dans l'église et allaient jusqu'à ternir les dorures du retable ». On est obligé de brûler de la résine et du soufre avant les offices dans l'église de Kerlouan, près de Lesneven, en 1776, tant les odeurs de putréfaction remontaient dans l'église. Le 16 février 1782, la communauté de Quimper décide que dans les cas d'inhumation dans les églises, il sera répandu de la chaux. Les résistances se manifestent, notamment dans le Léon. À Cléder, en 1759, le corps de Marie Guerer est inhumé dans la chapelle du Rosaire, par le mari du beau-frère, alors que les prêtres chantent devant sa tombe creusée dans le cimetière. Des incidents éclatent entre le clergé et les paroissiens à Plounéour-Trez en 1759 et 1765. Pourtant, des personnalités de Plouescat veulent donner l'exemple : en 1774 le Sieur de Kerroch'ic se fait enterrer dans le cimetière, de même, en 1747, le recteur Yves Gallou. Des peines d'amende allant jusqu'à vingt livres sont requises par le Parlement en 1754. Ce n'est qu'à la fin juin 1758 que tous les enterrements se font dans le cimetière à Plouescat. Cependant, le 25 novembre 1762, le corps d'Yves Postec est inhumé dans la nef de l'église par sa famille, malgré l'intervention du Recteur. Les autorités de justice font procéder à l'exhumation de son corps le 23 décembre, pour le faire enterrer dans le cimetière. À Cléder, la résistance demeura jusqu'en 1765.

    L'extension des cimetières

    L'édit royal du 10 mars 1776 prescrit le transfert extra-muros des cimetières urbains, car la crainte de la contagion persistait, les inhumations se faisant à faible profondeur (0,60 à 0,80 m à Crozon). Parfois les cadavres, dans les cimetières intra-muros, les Cordeliers et Saint-Nicolas à Quimper par exemple, apparaissaient lors de grandes pluies. En 1782, sont créés, à Rennes, des cimetières extérieurs. À Plouescat, en 1818, un cimetière communal est implanté à l'extérieur de la localité, près de la chapelle du Calvaire. À Morlaix, suite à la saturation du cimetière Sainte-Marthe, est choisi un nouveau site à Coatserho, en février 1794 et, le 19 mars 1821, celui qui est devenu le cimetière Saint-Charles.  

    sourions un peu

     


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