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    Le temps des moissons

    moissons

    La période des moissons avait une place très particulière dans l’année pour les ouvriers agricoles comme pour les exploitants. C’était l’occasion de repas conviviaux qui réunissaient tous les voisins venus se donner des coups de main mutuels afin d’accélérer le travail et garantir une récolte de bonne qualité. Les paysans se souviennent avec un peu de nostalgie de ces repas durant lesquels, malgré un travail souvent éprouvant, on partageait une ambiance chaleureuse et festive autour d’une poule au pot ou d’un poulet rôti.

    La période des récoltes démarrait dès que le blé était mûr, en général au début du mois de juillet. On vérifiait sa maturité en égrenant un épi dans la main : le grain devait être jaune et sec pour pouvoir démarrer les moissons. On établissait alors le planning de travail sur les différentes exploitations des alentours, et la tournée pouvait commencer pour ne se terminer qu’à la fin du mois de juillet.

    moissons

    Une journée type pendant l’époque des moissons commençait très tôt. Il fallait être debout dès le lever du jour et aux premiers rayons du soleil, on était déjà dans les champs. En effet, il fallait travailler le plus possible tant que la chaleur était supportable. La journée s’écoulait alors, tout juste coupée par les pauses du déjeuner et les casses croûtes qui rythmaient le temps de travail. On ne s’arrêtait qu’avec la tombée du jour et uniquement lorsque le manque de lumière rendait toute tâche impossible.
    Un matériel rudimentaire

    Lors des premières moissons , vers le milieu des années 30, le matériel demeurait encore très rudimentaire : une faucheuse, une charrette et la batteuse-lieuse qui restait alors à la ferme et n’était pas directement amenée dans les champs à moissonner.

    moissons

    On vérifiait d’abord la hauteur de coupe de la faucheuse en utilisant un levier qui permettait de régler la taille de fauchage. Une fois le blé coupé, on le ramassait pour former, à la main, de petites gerbes que l’on entassait dans les champs. On passait ensuite avec une charrette pour ramasser ces gerbes et les ramener à la ferme. C’était là, dans la batteuse-lieuse, que l’on séparait le blé de la paille. On montait d’abord sur la batteuse avec une échelle et on plaçait le blé par un orifice situé au dessus de la machine. Les épis passaient alors dans une presse à l’intérieur de la machine. La paille était ensuite expulsée d’un côté en grosses balles maintenues par des fils de fer, alors que les grains remplissaient des sacs en toile de jute de l’autre côté.

    Pour les plus grosses exploitations, une journée complète était nécessaire pour couper le blé et le mettre dans des sacs. Ceux-ci avaient une contenance moyenne de 80 kg et on pouvait en remplir, pour certaines grosses exploitations, jusqu’à une centaine. Pour les plus petites fermes, le travail était terminé en une demi journée seulement, avec une production d’une cinquantaine de sacs. Les balles pouvaient facilement peser entre 50 et 60 kg en fonction de la pression que l’on donnait au fil les reliant et donc de la quantité de paille que l’on y mettait.

    http://www.moulin-de-vanneau.fr/moissons-antan/

    QUIMPER + BRETAGNE = "PAYS DU SOLEIL"

     


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  • Quimper, ou Kemper en breton (le nom de Quimper-Corentin est parfois attesté en référence à saint Corentin, l'un des Sept Saints Fondateurs bretons) est une commune française, antique capitale de la Cornouaille, préfecture du département du Finistère et la région Bretagne.

    Ses habitants sont appelés en français les Quimpérois et Quimpéroises et en breton Kemperad (masculin), Kemperadez (féminin), Kemperiz (pluriel) ou bien de façon traditionnelle Glazik (pluriel Glaziked)[2] (pour les Quimpérois ainsi que les habitant de la région, le Pays Glazik).

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    Civitas Aquilonia

    Au 1er siècle avant J.-C., les militaires romains construisent la ville d'Aquilonia, à l'actuel emplacement du quartier de Locmaria, sur le bord de l'Odet. La rivière permet aux bateaux de pénétrer avec la marée depuis la mer jusqu'à la ville, mais il est cependant possible de traverser l'Odet à gué à marée basse.

    la ville de 


    La légende du Roi Gradlon et de la Ville d'Ys rapporte l'histoire de la fondation de la ville. On dit que le Roi Gradlon, fuyant sur le cheval Morvarc'h l'océan déchainé par les mauvaises actions de sa fille Dahut, arriva à l'endroit où deux rivières confluent entre 7 collines. Il décida de s'y installer et baptisa naturellement la ville "confluent", "Kemper" en breton.
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    Quimper, demeure des mythiques comtes de Cornouaille, est, pour certains, descendante de la légendaire cité engloutie d'Is. Chargée d'histoire, elle conserve un important patrimoine architectural symbolisé par la cathédrale et les nombreuses  maisons médiévales du centre.

    Quimper XV eme depuis mon Frugy.jpg Quimper XV eme depuis mon Frugy
    La fin du Moyen-Age, au temps de la ville close, fut le théatre d'une longue lutte entre l'Église et les bourgeois qui entendaient être maîtres chez eux. Vers 1740, ces bourgeois supprimèrent les fortifications, obstacle à l'embellissement de la cité. Un demi-siècle plus tard, Cambry a célébré la douceur des moeurs et l'esprit cultivé des Quimpérois.

    EntréeEntrée de la cathédrale de Quimper.

    Flèches Au XIXème siecle, sous l'Empire, Quimper est une cité prospère et voit sa population doubler. Le diocèse obtient d'une collecte auprès de ses paroissiens une somme suffisante pour élever sur la cathédrale les deux flêches de pierre de 80 mètres de hauteur que l'on y voit de nos jours

    PPalais de l'évêquePalais de l'évêque de Quimper.

    Le palais jouxte la cathédrale


    TombeauCathédrale Saint-Corentin. Tombeau en bronze de Mgr Duparc, décédé en 1946.

    CathédraleVue de la cathédrale de Quimper.�
    *Quimper - Préfecture du Finistère - Façade sur l'Odet

     

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    Les bords de l'Odet.
    Les bords de l'Odet.
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    Le vieux Quimper

    �� Fichier:Bretagne Finistere Quimper 20055.jpg 

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    Quimper (1) la Cathédrale Saint-Corentin


    Les photos ci dessus le lien

    *Magasin Henriot. Très belles faïenceries.

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    Les Faïenceries de Quimper et le Musée de la Faïence

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    UN PEU D'HISTOIRE...

    Dès la fin du 17° siècle, Quimper et ses alentours se spécialisaient dans la production de vaisselle. Des ustensiles pratiques et rustiques des débuts de grès et de terre cuite, on est passé peu à peu à des pièces plus raffinées, d'abord avec des copies de faïences de Nevers (qui elles-mêmes copiaient les faïences de Delft avant de se distinguer...), puis avec l'élaboration de dessins traditionnels : les personnages bretons en costumes de face ou de profil, les fougères et les grands motifs fleuris réalisés d'un trait de pinceau adroit par les "peinteurs" et les "peinteuses"...

    une "peinteuse"...

    ... en préparation...

    A la fin du 19°, trois grandes maisons émergaient : HB (la Hubaudière), HR (Henriot) et Porquier, la plus renommée étant sans conteste HB. D'ailleurs, dans le musée, une reproduction d'un arrêt de tribunal de 1904 fait sourire aujourd'hui : on y interdisait formellement à la manufacture HR de signer ses pièces avec la barre du "R" recourbée comme la boucle d'un "B" qui serait mal fini... ce stratagème ayant pour but de créer une confusion!

    En 1904, Porquier ferme ses portes. En 1913, HR (Henriot) rachètera la marque, avec les dessins et modèles et en 1918 HB (la Hubaudière) rachète les locaux pour s'y sintaller.Les deux entreprises continuent de se concurrencer jusqu'en 1968, date à laquelle HR (Henriot) éprouve des difficultés, et est absorbée par HB (la Hubaudière) : il reste une entreprise désormais soudée qui exploite les trois marques. En 1984, l'entreprise est vendue à la société "Quimper Faïence Inc.", sauf la collection (2400 pièces) et la bibliothèque (260 ouvrages) qui seront désormais gérés par une nouvelle société : "Faïencerie de la Grande Maison".


     

    Webcams de la Ville de Quimper aujourd'hui

    *http://www.mairie-quimper.fr/jsp/webcam_popup.jsp?lastfilm=quimper 



    lien� xwx

    Les photos des fêtes

    Retour page présentation

    Cercle de St Pol de Léon� avec le costume de Gouézec

     

    Tonton Jakez Douarnenez� Costume de Ploaré

     

    Costume de Sénane ( Ile de Sein)

     

    Cercle Ar Vro Vigoudenn, Pont L' Abbé

    Pomponne de Pont Croix année 1900�� Cercle de Beuzec

     

    Costume de Kerfeunteun pays de Quimper

     

    Costume du pays de Lorient Cercle Armor Argoat

     

    �Bagad Beuzeg ar C'hab

    Le costume Capen du cercle de Beuzec

     

    Le Groupe des Bugalé de Beuzec Cap Sizun

     

    ����� Cercle Kanfarded�������� St Evarzec

     

    Cercle Ar Vro Vigoudenn, Pont L' Abbé

    Promenade en tombereau pour la fête du goémon

     

    Le Brûlage du goémon pour la récupération de la soude

     

    Le magnifique cadre ou se déroule la fête du goémon

     

    Le public à l'écoute des chants de marin

    Fête des Bruyères à Kastel Coz����� "� Eureden "

     

    Fête des Bruyères à Kastel Coz������� "� Eureden "

     

    La Noce Bretonne en char à banc pour le défilé

     

    La Noce Bretonne à� la Fête des Bruyères

    Séance de pose de coiffe� long travail de spécialiste

     

    �� La fête des Bruyères.������ La noce en char à banc

     

    La route de Kastel Coz qui mène à la fête�

     

    La noce bretonne dans les chars à banc très fleuris

         

     

    Images de la galerie associées au tag breton
    image 7|93
    << < > >>
    Festival de Cornouaille - Quimper - 20080727 09645

    Émilie Kerlen (du cercle Ar Vro Vigoudenn), reine du Festival de Cornouaille 2008, à Quimper, dans le Finistère.

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    Bretons2Costume-de-concarneau-Petit_breton1934Petitbreton

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    Quelques chiffres

    Au début du XIXe siècle, dans les cinq départements bretons, on comptait 66 types de costumes selon le pays où l'on habitait. Et si l'on compte aussi les variantes dans les villages, on arrive à 1200 façons différentes de s'habiller.

       
     
       

    Une carte d'identité

    Jeu du Costume

     
           
     
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    Voyage virtuel: le Finistère et Quimper

    quimber
    La rue Keréon à Quimper
    Bretonne
    la fête de Cornouailles: une Bigouden (la coiffe)
    couple
    Couples en costumes traditionnels
    Bretons

    Les chapeaux des bretons ont inspiré cette vieille chanson dont voici le début:
    Ils ont des chapeaux ronds, vive la Bretagne.
    Ils ont des chapeaux ronds, vive les Bretons.

    coiffe
    Coiffes traditionnelles.
    coiffe
    Les dames agées en portent encore aujourd'hui.
    bombardes
    Joueurs de bombardes et de cornemuses
    cornemuses
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    * **Quelques images au fil de l'odet*
    *medium_P1010880.JPG

    cathédrale st Corentin

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    Palais épiscopal

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    vieux quimper

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    Visite de la cathédrale Saint-Corentin

    Visite de la cathédrale Saint-Corentin

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    Quimper et l'Odet vus du ciel, avec Locmaria au premier plan et le clocher de la cathédrale dans le fond.
    Quimper et l'Odet vus du ciel, avec Locmaria au premier plan et le clocher de la cathédrale dans le fond.
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    La Cathédrale Saint-Corentin

    cathédrale Saint-Corentin de Quimper  
    Dédiée au patron de Quimper, elle offre le style breton dans toutes ses phases, du XIIIème siècle au XVème siècle, d'abord inspiré du style normand pour le choeur, puis se dégageant peu à peu de cette influence pour se montrer entièrement personnel. C'est la cathédrale gothique la plus complète de Bretagne avec celles de Saint-Pol-de-Léon et de Tréguier. Tout n'est pas authentique, mais l'homogénéité est là: le grand portail de la façade a une double porte de la fin du XIXème siècle. Le reste, de 1425 environ, est du style gothique flamboyant. Parmi les sculptures, aujourd'hui effritée, on distingue encore le lion de Montfort tenant dans sa griffe la bannière de Bretagne. Au-dessus du portail, la façade est ajourée de deux grandes fenêtres superposées. De chaque côté s'élèvent les deux fameuses tours (76 m), percées dans leur partie carrée, qui date du XVème siècle.
    La Préfecture�

    préfecture de Quimper  
    *La construction de ce bâtiment destiné à abriter les services de la préfecture est décidée par le conseil général dès 1904. L'édifice est inauguré le 30 août 1909. Auparavant, l'administration du préfet, établie dans chaque département depuis la loi du 28 pluviôse de l'an VIII, se tenait dans l'ancien hôpital Sainte-Catherine, reconstruit par les religieuses augustines de la Miséricorde de Jésus entre 1675 et 1685. La maison conventuelle abrite désormais le logement du préfet. En 1861, les bureaux de la préfecture déménagent dans un bâtiment le long de l'Odet, conçu par Joseph Bigot. L'actuelle préfecture porte la marque d'une référence historique au château d'époque Louis XII.
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    Le musée départemental breton

    Musée départemental breton à Quimper  

    Crée en 1846 et installé depuis 1912 dans l'ancien évêché, il s'ouvre au pied de la cathédrale. L'aile Ouest, sous laquelle on entre, date de 1646 et appartient au style de la renaissance bretonne, avec des fenêtres à fronton. Mais la plus ancienne partie est le logis bâti au début du XVIème siècle par la famille de Rohan, dont le cadet, occupa le siège épiscopal de 1501 à 1540. On remarque surtout l'élégante tour d'escalier gothique flamboyant. L'aile qui suit, du XVIIIème siècle, a été remaniée vers 1860. On accède librement à la cour et au jardin, d'où l'on découvre une belle vue sur les tours et sur le flanc Sud de la cathédrale. Le jardin est fermé au Sud par un fragment bien conservé des vieux remparts qui bordent de l'autre côté le quai de l'Odet.*
    Le jardin du rempart
    Ce jardin se trouve sur l'emplacement des anciennes formées par l'Odet, coulant au pied du rempart et formant un étang qui alimentait le moulin des évêques. Avec la construction de la gare, en 1863, un remblai est créé le long du rempart et l'Odet est canalisé. Le maire E. Porquier décide alors d'aménager un square dans la partie longeant le jardin de l'évêché et le terrain est acquis par la ville en 1881, planté et entouré de grilles, désormais disparues.

    jardin du rempart à Quimper





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    cidre
    Photo: Marie Ponterio
    Le cidre et le gâteau au beurre ( la boîte est décorée avec les motifs de la faïencerie de Quimper HB Henriot)*

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    ................................. *un lien a visiterhttp://www.voyage-webguides.com/fr2/finisud.html  

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    Autour-du-Chaudron-de-bouillie

    Autour-du-Chaudron-de-bouillie


    ..Kénavo !
    ..........................
    http://perso.numericable.fr/~jdezette/kenavo.jpg

     

     

     

     




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  •  Le porte-hélicoptères Jeanne-d’Arc est devenu, début novembre, Q 860, un numéro de coque. C’est la fin d’une époque, commencée en 1964, année de sa première campagne. Durant cette longue carrière, la Jeanne est restée un ambassadeur prestigieux. 


    La coque Q860, ex-Jeanne d'Arc
    crédits : LE TELEGRAMME


     
    Fermer
    null
    La coque de la Jeanne-d'Arc est désormais embossée jusqu'à l'heure deson départ définitif.


     

    14/12/2010
    L'ex-porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, bâtiment école de la Marine nationale de 1964 à 2010, a été officiellement condamné en novembre. Comme prévu, c'est le numéro de coque Q860 qui lui a été attribué. Cet été, l'ancienne Jeanne a fait l'objet d'importants travaux destinés à sécuriser la coque, extraire les fluides et débarquer les matériels pouvant être récupérés. A l'issue de ce chantier, elle a été remorquée jusqu'aux épis porte-avions de la base navale de Brest. La coque fera l'objet d'un appel d'offres en vue de son démantèlement.

    Dernière cérémonie des couleurs sur la Jeanne d'Arc

    La Jeanne d'Arc le 1er septembre, avant le retrait du pavillon
    crédits : MARINE NATIONALE - BENJAMIN RUPIN


    06/09/2010

    Le pavillon tricolore de Jeanne d'Arc a cessé d'être hissé, marquant officiellement la fin de carrière du célèbre bâtiment école de la Marine nationale. La dernière cérémonie des couleurs du porte-hélicoptères, mis en service en 1964, s'est déroulés le 1er septembre, à Brest. Le drapeau a été rentré devant le dernier commandant du navire, le capitaine de vaisseau Patrick Augier, ainsi que le commandant de la zone maritime atlantique, le vice-amiral d'Escadre Anne-François de Saint Salvy et le commandant de la force d'action navale à Brest, le vice-amiral Jean-Pierre Labonne. Dans la foulée, les matelots ont enlevé de leur bâchis la bandelette de tissus sur laquelle Jeanne d'Arc était écrit, leur coiffe portant désormais la mention "Force d'Action Navale". Le 1er septembre, également, une couche de peinture a recouvert les inscriptions Jeanne d'Arc à la poupe et le numéro R97 du bâtiment, qui perd son nom et ne devient plus qu'une simple coque. Le 9 septembre, la mise en réserve du navire sera officiellement prononcée. Le même jour, l'ex-Jeanne d'Arc, qui devrait devenir la coque Q860, quittera son bassin, situé en Penfeld, pour gagner l'épi porte-avions numéro 4 de la base navale. Le passage en cale sèche a permis à Piriou de mener les travaux de sécurisation de la coque, dont le mât a été enlevé. Et, d'ici la fin du mois, les marins devraient avoir extraits les derniers matériels récupérables.
    Entrant dans le processus de démantèlement, l'ancienne Jeanne fera, comme les autres vielles coques, l'objet d'une expertise destinée à cartographier les matériaux polluants contenus à bord. Un appel d'offres sera ensuite lancé en vue de la déconstruire.


    Le CV Augier (© : MARINE NATIONALE - BENJAMIN RUPIN)


    (© : MARINE NATIONALE - BENJAMIN RUPIN)


    (© : MARINE NATIONALE - BENJAMIN RUPIN)
    images du net 
    http://jdb.marine.defense.gouv.fr/batiment/jda
    http://www.letelegramme.com/actualite-en-direct/

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  •  visite a kérizinen pont de térénez 055 

      http://dieu-sauve.chez-alice.fr/apparitions/kerizinn/kerizinn.htm

    Kerizinen est un hameau de Plounévez-Lochrist entre Brest et Morlaix où Jeanne-Louise Ramonet naquit le 7 Octobre 1910 dans une modeste famille de cultivateurs. Elle était la quatrième de neuf enfants. Durant sa jeunesse, elle souffrit d'une santé déficiente. En 1936, emmenée à Lourdes, elle en revint partiellement guérie, ce qui lui permit d'assumer son travail à la ferme, qu'elle avait reprise au décès de ses parents. Elle y travailla jusqu'à sa retraite en 1970.

    De 1938 à 1965, elle eut des apparitions de Jésus et de Marie dans un champ proche de sa maison. Depuis sa retraite, Jeanne-Louise récitait tous les jours le Rosaire à 15 heures avec les pèlerins.
    Elle a toujours vécu à Kerizinen, où elle s'est éteinte, munie des sacrements de l'Église, le dimanche 19 février 1995, à l'âge de 84 ans.
    Elle repose au cimetière de Plounévez-Lochrist.
    Les apparitions dont bénéficia Jeanne-Louise furent presque toutes accompagnées de messages, dont plusieurs insistent sur la compassion de Marie. Lorsqu'ils apparaissent ensemble, Jésus et Marie dévoilent leurs deux Coeurs unis par un glaive, et demandent que soit répandue dans le monde la dévotion à leurs « deux Coeurs Unis dans le Saint Esprit. » visite a kérizinen pont de térénez 002

     

    une promenade a Kérizinen ! histoire d'occuper les enfants  dans un lieu calme et reposant

    c'est pas l'époque touristique  on a pas vu trop de monde ce qui nous a permis de visiter en toute tranquilité

    Kerizinen est assez difficile à localiser, il faut une bonne carte. En tout cas je savais que c'était du coté de Lanhouarneau dans le Léon, province du Finistère. Il me suffisait de me rendre là-bas, Lanhouarneau, au mois d'Avril c'est quand même un peu désert..

     

    HISTORIQUE DES APPARITIONS <<<<<<<<

    http://kerizinen.free.fr/maison2.jpg

    la maison de Jeanne-Louise Ramonet, c'est rustique sans eau courantesans électricité et le sol en terre battue

    visite a kérizinen pont de térénez 012

     

    quelques photos prises a l'intérieure au travers d'une vitre  ( pour surement éviter les vols )

    visite a kérizinen pont de térénez 004

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    visite a kérizinen pont de térénez 005

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    visite a kérizinen pont de térénez 010

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    visite a kérizinen pont de térénez 008

    *Il n'y avait pas d'eau à Kerizinen. Le 6 août 1949, la Sainte Vierge promit de l'eau si l'on priait beaucoup. Le 13 juillet 1952, l'eau a jailli en contrebas du champ des Apparitions, depuis elle n'a jamais tari. De nombreuses guérisons ont été obtenues par cette eau.

     

    visite a kérizinen pont de térénez 014

    *Mai 1949 Sur le lieu des apparitions, les pèlerins déposent une petite Vierge en faïence de Quimper.

    visite a kérizinen pont de térénez 051

    *Décembre 1949: Une petite guérite de verre est placée sur le lieu des apparitions, en remerciement d'une guérison

    visite a kérizinen pont de térénez 017

    5 Février 1956: Le petit Oratoire est achevé, il est béni à titre privé.

     

    visite a kérizinen pont de térénez 016

     

    17 Septembre 1978: Inauguration du grand Oratoire, devant plus de douze mille personnes.

    visite a kérizinen pont de térénez 013

     

    le petit oratoire est conservé a l'intérieure du grand oratoire

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    visite a kérizinen pont de térénez 045 a

     

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    visite a kérizinen pont de térénez 028

    visite a kérizinen pont de térénez 032

    enfin la pause casse croute éhéhle coin est trés joli est bien fleurivisite a kérizinen pont de térénez 035

     

    le coin est bien fleurit ! ! je pense qu'au bout d'un certain temps on replante les fleurs en pot offert pour décorer l'église

    visite a kérizinen pont de térénez 038

    visite a kérizinen pont de térénez 039

    visite a kérizinen pont de térénez 040

    moi qui est du mal a faire pousser un camélia chez moi ! ici il y en à a foison ::

    visite a kérizinen pont de térénez 041

    et maintenant direction la presqu'ile avec une alte au pont de Térénez !! les images ce sera pour demain

    visite a kérizinen pont de térénez 054

    C'est un peu comme Lourdes !! mais vous remarquerez qu'on en fait pas un commerce ici !

    c'est pas encore envahie de boutiques de tout genre !!  c'est resté un endroit trés paisible où on ce sent bien

     


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  • *pont-de-terenez.jpg

    letelegramme.com

     

    letelegramme.com

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    LE TELEGRAMME.COM *  image+ vidéo

     

    Ce dimanche 17 avril, des animations ont lieu à Argol pour fêter la mise en service du pont de Térénez. Images de Claude Prigent.

    http://www.letelegramme.com/ar/imgproxy.php/PhotoIntuitions/2011/04/17/1271558_9511112-pontplaque-20110417-c130a.jpg?article=20110417-1001271558&aaaammjj=20110417

     

    Un prénom?
    C'est un joli nom, Térénez. Issu de la racine «treiz» (le passage), il sonne aussi bien qu'un prénom breton. Alors, la question se pose: fille ou garçon, un bébé finistérien s'appellera-t-il bientôt Térénez? À déconseiller, tout de même, si on s'appelle Dupont.

     

     

     

     

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    * pont-de-terenez.-parade-nautique.jpg

     

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